Abolir la religion de la choah, par Henry de Lesquen

Voici 10 remarques libres et impertinentes sur la religion de la choah. Plus une conclusion.

 

1. Mieux vaut écrire choah. « chine vav aleph hè » = choah (catastrophe). Sh, c’est en anglais.

 

2. Le sacré étant l’essence de la religion, il y a bien une religion de la choah.

 

3. La religion de la choah a quatre dogmes :

– 1. plan d’extermination

– 2. six millions de morts

– 3. chambres à gaz

– 4. incomparabilité.

 

4. La loi Gayssot du 13/7/1990 protège les dogmes n° 2 et n° 3 de la religion de la choah contre l’hérésie et le blasphème.

 

5. Les choahs, génocides, populicides, ont hélas été très nombreux dans l’histoire.

 

6. Les Juifs de l’Antiquité se sont vantés dans l’Ancien Testament des génocides qu’ils avaient perpétrés. Cf. http://lesquen2017.com/2015/12/12/comprendre-le-judaisme/

 

7. La choah des Juifs due aux Allemands a fait 5 fois moins de morts que la choah des Slaves due aux Juifs dirigeant l’URSS jusqu’en 1953.

 

8. La religion de la choah est raciste, puisqu’elle met les souffrances des Juifs au dessus de celles des autres hommes.

 

9. La France n’est plus un pays laïque, puisque la religion de la choah fait l’objet d’un culte et d’un enseignement officiels.

 

10. La religion de la choah est à la base du système politique actuel. Cf. http://lesquen2017.com/2015/08/16/une-analyse-en-10-points-du-systeme-politique-actuel-par-henry-de-lesquen/

 

Conclusion : pour le salut de la France, il faut en finir avec la religion de la choah, en commençant par abroger la loi Gayssot.

 

Henry de Lesquen

(21 commentaires)

  1. La religion se base en principe sur un être transcendant , ici , il n’est pas. Je vous laisse voir votre définition de dogme , erronée ici encore. Pour terminer je voudrais savoir votre critère de connaissances historiques , merci de revoir votre populisme

      1. Il eut été préférable d’écrire  » pseudo-religion  » plutôt que  » religion  » , car cette pseudo-religion de la choah essaye certes de s’ériger en religion , mais n’en est pas authentiquement une .
        J’approuve l’abrogation de la loi Gayssot , clé de voûte de cette pseudo-religion .

      2. Il y a confusion, concernant la notion de religion, même dans les réponses que sont fournies, c’est dire s’il faut encore et encore expliquer …
        Une religion se base sur la notion de sacré, mais qu »est ce que le sacré ?
        C’est la séparation, la distinction, contenant l’idée d’interdit, conféré à un lieu, une chose, pour lui donner la valeur symbolique d’être au-dessus des autres chose, dites NORMALES.
        Il n’est donc pas nécessaire que ce soit un bonhomme, un crocodile, une faucille et un marteau, une croix, une svastika, et ni même un mot,comme Allah, ou encore un mot non prononçable … pour avoir du sacré, car toute chose peut se voir sacraliser, même les chiottes, dès que celui à qui l’on s’adresse se met à le croire, sacralisé !
        Le SACRE se mesure donc, non pas, exclusivement, à la distinction, la séparation, à l’interdit verbal, et donc symbolique, qu’on confère à une chose, mais à la reconnaissance, par les uns et les autres, de c’est interdit, de cette inviolabilité qui lui est conférée.
        Si cette valeur symbolique n’est pas reconnue comme telle, le symbole reste à l’état NORMAL, comme toute chose, parce que c’est, par convenance sociale, la NORME des choses.
        Merci de m’avoir lu, et reçu !

  2. Plutôt que de faire des suppositions mieux vaut aller au plus simple ; définition selon le CNRTL : « Rapport de l’homme à l’ordre du divin ou d’une réalité supérieure, tendant à se concrétiser sous la forme de systèmes de dogmes ou de croyances, de pratiques rituelles et morales »

    À quoi il faut ajouter : « Le mot religion [chez les anciens] ne signifiait pas ce qu’il signifie pour nous; sous ce mot nous entendons un corps de dogmes, une doctrine sur Dieu, un symbole de foi sur les mystères qui sont en nous et autour de nous; ce même mot, chez les anciens, signifiait rites, cérémonies, actes de culte extérieur. »

    Donc : la transcendance est bien un critère selon la définition moderne du mot. Le sacré, et donc le rite, est sans doute un critère déterminant si vous êtes un grec antique. À voir si c’est votre cas…

  3. > « La religion de la Choah est raciste, puisqu’elle met les souffrances des Juifs au dessus de celles des autres hommes. »

    Mais n’êtes-vous pas le 1er à vanter le coté « positif » du racisme ?

      1. Je pense que vous faites erreur, Henry, sur ce point : quand Robespierre ( Rubinstein de son vrai nom ) fait chanter à ses troupes « qu’un sang impur abreuve nos sillons » lorsqu’il les envoie exterminer les populations de l’ouest de la France parce qu’elles restent catholiques et refusent le culte de « l’Etre suprême », ce n’est pas seulement du racisme républicain, mais du racisme tout court. Trotzky, Kaganovich ou Hitler ne font que prendre exemple sur Rubinstein. Et Rubinstein, lui, prend exemple sur l’ancien testament et sur l’antiquité. Enfin, concernant Rubinstein, les ordres écrits ont été retrouvés.
        Il n’est pas étonnant que la révolution dite française ait remis l’antiquité à la mode. La république romaine était corrompue. Jules Cesar était ruiné quand ce raciste républicain a soudain eu assez d’or pour se payer d’abondants cavaliers germains auxiliaires. Mais il a dû ensuite déporter des millions de Celtes en esclavage pour rembourser ses dettes, et en sus, il a dû aller combattre Pompée et l’Egypte ptolémaique. Les Celtes n’ont été libérés que bien plus tard avec Clovis puis surtout avec la révolution capétienne par laquelle le Roy se fait avant tout le bras armé de l’Eglise.

    1. Ils étaient soviétiques et communistes avant d’être juif. Staline n’était pas très juifs et ne semblait les apprécier que très très modérément; et même si je sais que la place des juifs en urss n’était pas si mauvaise, il y avait un double langage dans la politique soviétiques par rapport aux juifs qui disait les protéger mais qui contribuait aussi à leurs persécutions.

    2. Et le fait que des juifs aient contribué à des massacres ne fait pas de l’URSS un pays juif. C’est pas leurs judaité qui ont fait les massacres là ou les nazis massacraient les juifs pour préserver la « pureté de la race ».

      Du coup, le fait que des juifs commettent des massacres me fait juste dire que ce sont des personnes comme les autres (ce qui serait raciste et méprisant serait de dire que les juifs ne sont que des victimes)

  4. 1. Vocabulaire : Pour penser juste, ne pas se tromper, il faut employer le mot juste, précis, comme disait Jean Ferré ; or, Littré définit religion comme : « Ensemble de doctrines et de pratiques qui constitue le rapport de l’homme avec la puissance divine. » Il n’est pas le seul à le faire et de fait, la réalité est que quand on parle de religion on parle de relier l’homme au divin. Donc l’expression « religion de la Shoah » est inappropriée. Il serait plus juste de parler d’hypermnésie ou d’hypertrophie de la religion de la Shoa.

    2. Incomparabilité : Il est faux de dire que l’unicité de ce génocide conduit à une incomparabilité ; précisément, tout est comparé à la Shoa ; la moindre action contre les illégaux est comparé à une rafle, la gauche fanatique (qui oublie que la collaboration fut massivement un phénomène de la gauche pacifiste et européiste) ne cesse d’évoquer Vichy ; le mot génocide est employé à tort et à travers et on a jugé Ceaucescu pour génocide… Les musulmans et chrétiens de Turquie emploie le même mot que Shoa (grand catastrophe pour parler de leur malheur : https://fr.wikipedia.org/wiki/Grande_Catastrophe)… Chaque événement est unique donc la Shoa aussi, tout événement peut être comparé, donc la Shoa aussi…

    3. Instrumentalisation : ce n’est pas la religion de la Shoa qu’il faut dénoncer, mais son instrumentalisation ; qui n’est pas principalement le fait des juifs mais surtout celui de la gauche qui utilise la reductio ad Hitlerum systématiquement… La gauche utilise la crainte d’un retour de l’antisémitisme pour utiliser à son profit l’influence des juifs et gagner leur vote. Et la gauche utilise la Shoa pour nazifier ses ennemis. Pour déjouer ce plan, il faut rappeler que les collabos venaient majoritairement de la gauche (Laval, Darlan, Doriot, Déat et la liste innombrable et majoritaire de noms citée par Simon Epstein : https://maximetandonnet.wordpress.com/2010/10/31/resume-livre-le-paradoxe-francais/) et qu’aujourd’hui c’est l’islamisme qui généralise l’antisémitisme dans les banlieues.

    4. URSS : si les juifs furent nombreux parmi les bolcheviques, c’étaient des renégats, excommuniés des synagogues et détestés de la majorité des juifs qui fuirent nombreux l’URSS pour continuer à pratiquer leur religion. Et dès l’arrivée de Staline, la proportion de juifs a chuté dans les instances dirigeantes ; Staline est idolâtré des antisémites russes pour cela et pour avoir préparé une grande déportation des juifs en 1953… Donc accuser « les juifs » d’un génocide des slaves est faux. Il est totalement injuste d’incriminer « les juifs » dans les crimes du NKVD qui fut d’ailleurs fondé par Feliks Dzierżyński, un noble polonais n’ayant rien de juif…

    5. Hitler dit, dès Mein Kampf, qu’il aurait fallu « utiliser le gaz contre quelques dizaines de milliers d’Hébreux » (civils allemands).
    Quand on est capable d’écrire une abjection pareille, il ne faut pas s’étonner qu’on soit capable de la mettre en œuvre dès que l’occasion se présente. Cibler une catégorie de civils du fait même de leur race, c’est la définition même du génocide. Indépendamment des chambres à gaz, rafler des familles de civils avec femmes et enfants, les priver de leurs bien, les enfermer dans des wagons à bestiaux pendant des journées entières, les conduire dans des marches de la mort, les traiter comme des bêtes suffit à condamner moralement ce régime ; ce qui n’excuse pas les autres régimes… Comme disait Jean Ferré, les crimes du nazisme n’annulent pas ceux du communisme, ils s’ajoutent…

    6. Base du système politique actuel : ce n’est pas la Shoa, mais la primauté morale de la gauche et l’utopie égalitaire ; c’est cela qu’il faut attaquer et uniquement cela. Il ne faut attaquer un juif que parce qu’il est de gauche, pas parce qu’il est juif. Les hommes ne se réduisent pas à leur identité héritée. Le seul critère moral pour désigner un adversaire, ce sont ses idées ou ses comportements. Or, les juifs sont une des communautés les plus intégrées, les moins condamnées en France. Et le système politique actuel repose sur la domination intellectuelle de la gauche qui n’est pas fondée sur la mémoire de la Shoa, même si elle l’instrumentalise mais sur l’exploitation de faits historiques ; il faut revenir aux fondamentaux du Club de l’Horloge : c’est l’utopie égalitaire qui est la base du système actuel et tout tourne autour du ressentiment et de la haine qui en sont les fondements. L’instrumentalisation de la Shoa, qui a d’ailleurs bien décliné du fait de l’islamisation de la France qui empêche qu’on en parle, est juste un élément parmi d’autres. La reductio ad Hitlerum joue un rôle clé mais pour la combattre il faut montrer et répéter sans cesse que l’on a rien à voir avec Hitler ; dénoncer la religion de la Shoa n’est pas un bon moyen d’y parvenir… Cela ne peut que conforter le règne de la gauche…

  5. Trotsky et Hitler n’ont fait que s’inspirer des racistes républicains et de Robespierre.
    Il est prouvé que Robespierre a signé les ordres pour organiser le génocide des catholiques de l’ouest de la France, qui a été mené jusqu’au bout en Vendée.
    Il a ordonné à Fourcroy de mettre au point des chambres à gaz. Ces chambres à gaz n’ont été abandonnées que du fait du danger qu’elles présentaient aussi pour les assassins.
    Après une rue M. Rubinstein, pourquoi pas une rue Trotsky et une rue Hitler à Paris ?

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