La France noire
Par Henry de Lesquen
Peuple européen de race blanche
La France noire, c’est le titre provocateur d’un livre collectif qui est paru aux éditions de La Découverte. Un grammairien dirait que c’est une contradiction dans les termes, car la France est un pays de race blanche. Le général de Gaulle a exprimé une vérité profonde quand il s’est exclamé : « C’est très bien qu’il y ait (…) des Français noirs (…). Mais à condition qu’ils restent une petite minorité. Sinon, la France ne serait plus la France. Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne. » Jusqu’au XVIIIe siècle, noirs et mulâtres étaient bannis du royaume de France. Martinique et Guadeloupe étaient des colonies depuis 1635, mais nul ne s’était imaginé avant les folies intégrationnistes du XXe siècle qu’elles étaient « la France », alors qu’elles étaient simplement « à la France ». On tente de nous faire accroire que les noirs auraient joué un rôle dans la formation de notre identité nationale. C’est stupide. Certes, Alexandre Dumas, qui était quarteron, a honoré les lettres françaises (en faisant du reste durement travailler des… nègres pour l’écriture de ses romans !), mais c’était au XIXe siècle, pas avant. Il était du reste trois fois plus blanc que noir…
Appel à la guerre civile
« La France noire » : ce titre scandaleux résonne comme un appel à la guerre civile. C’est un livre raciste, en dépit du vernis universitaire. Non parce qu’il postule l’existence d’une race noire, qui est une évidence, mais parce qu’il invite sournoisement les noirs à s’opposer aux blancs. Pis encore, il définit un programme de conquête en douceur qui aboutirait à la destruction de notre identité nationale.
Ne nous y trompons pas : le processus est en marche. La mélanisation de la France et de l’Europe, c’est-à-dire l’accroissement de la proportion d’individus de race noire dans une population qui était intégralement blanche à l’origine, progresse à pas de géant. Il est temps de prendre la mesure du danger. Certains des auteurs du livre n’en sont plus à rêver d’une assimilation impossible, ils revendiquent des droits propres pour les noirs, qu’ils veulent organiser en communauté contre les blancs.
Illusions dévastatrices
Nous ne voulons pas de la haine raciale qui ferait éclater la nation et conduirait à la guerre des races. Cette sinistre perspective deviendrait inéluctable si la politique de l’immigration et de la nationalité n’était pas radicalement transformée dans les prochaines années. Il est indispensable, tout d’abord, d’abroger les lois scélérates dites antiracistes qui alimentent en pratique le racisme noir. Il faut ensuite mettre en oeuvre d’urgence la réémigration (le mot est d’Enoch Powell) des populations inassimilables.
Enfin, cessons de pratiquer la politique de l’autruche. Martiniquais ou Guadeloupéens sont des gens parfaitement respectables et souvent charmants, mais ils ne sont pas vraiment français. Donnons l‘autonomie à nos territoires d’outre-mer, qui pourraient rester sous la souveraineté de la France, et instituons une nationalité particulière à chacun d’entre eux : que les Martiniquais, Guadeloupéens, Réunionnais… soient amis de la France, on ne demande pas mieux, mais il est grotesque de les peindre en blanc en feignant de croire que ce sont des Français comme les autres. Ces illusions dévastatrices nous ont fait trop de mal.
Henry de Lesquen
(VdF)
« Ces illusions dévastatrices nous ont fait trop de mal. »
Développez ?
Bonjour, M.Lesquen,
Je tiens à préciser que la commauté noire n’ est aucunement responsable du déclin francais.
En effet cela résulte des transformations sociales économiques, politiques que la société a subit depuis la chute de l »ancien régime. Vous savez trés bien que l’esprit des lumiéres
notamment à travers l’idéologie liberal associé aux marchés que vous défendez tant dans votre programme a détruit le divin, et toute cohésion social, elle détruira les nations pour ne laisser place qu’aux intérêts privés des grands groupes. La société marchande universerselle n’a que faire des nations et des valeurs morales spirituelles que vous prétendez justement défendrent. c’est une contrainte que les mondialistes veulent briser
La France ne pourra se relever qu’avec l’accord de tous les français
De plus l’identité de la France ne se limite pas uniquement pà la race mais aussi à son histoire, sa culture.
Certains nationaux se trompent de combats, en dirigeant leus coléres uniquement sur les conséquences on n’oublie de remettre en cause le liberalisme écoomique, corporatisme monopolistique d’état, seuls responsables de ces troubles dans notre société.
Vous citez Alexandre Dumas pour le minimiser mais que faites-vous d’écrivains comme René Maran, lauréat du prix Goncourt de 1921 ou de Léopold Sédar Senghor, membre de l’Académie Française et placé au côté de Molière, Voltaire, Chateaubriand, Victor Hugo par Bruno Gollnisch lui-même ? Eux, que je sache, n’étaient pas des quarterons plus blanc que noir.
Quand vous pestez contre les « folies intégrationnistes du XXe siècle » puis-je vous rappeler que le premier député noir, Jean-Baptiste Belley, a été élu dès 1793 à la Convention et accueilli avec le baiser fraternel ? Avez-vous oublié des personnalités comme Blaise Diagne, Gaston Monnerville ou encore Félix Eboué qui rallia la colonie tchadienne à la France Libre et dont le Général de Gaulle – dont vous invoquez l’autorité – a qualifié plus d’une fois de « français noir » dans des paroles qui elles ne sont pas rapportées mais écrites ?
On peut admettre comme évidence l’idée que la France est un pays majoritairement blanc tout en acceptant des minorités raciales dans la communauté nationale et en reconnaissant leur contribution à l’histoire du pays.
Merci pour le « parfaitement respectables et souvent charmants » Henry. Mais vous savez c’est un honneur pour les ultramarins de servir dans la police, l’armée française ou même dans les hôpitaux ou encore pour faire le ménage à Versailles et ailleurs.
Après bon sachez que certains ont fait autre chose que nettoyer des toilettes, par exemple le député FN martiniquais allié de Jean-Marie Le Pen était officier et pilote de chasse sauf erreur.
Vous ne voudriez pas juste leur laisser le choix entre la vie à la française et le retour « à la nature »?
Parce que ça fait quand même plusieurs siècles pour beaucoup de familles (plus longtemps que la Savoie par exemple) de contact avec le système français et la francophonie. Certains sont même chercheurs, ingénieurs, chefs de projet … Et comme vous le dites pour Alexandre Dumas, nombreux sont ceux qui sont x (parfois bien plus que 3) fois plus blancs que noirs.
Enfin à vous de voir.
Cette ligne a le mérite de la clarté mais elle n’a de chance d’aboutir que si toute la nation (blanche) est mobilisée. Seriez vous prêt à un programme commun, une union sacrée, avec l’ensemble de la nation (blanche) ? Le temps presse : il faut aller droit au but et ne pas hésiter pour des raisons de subdivisions internes.
@ERIC BASILLAIS