Français de souche, levez-vous ! Par Henry de Lesquen

Français de souche, levez-vous ! 

Par Henry de Lesquen

 

Montesquieu se gaussait des Parisiens qui demandaient : « Comment peut-on être persan ? » On n’oserait plus aujourd’hui s’interroger sur les mérites des sociétés exotiques. C’est de nous-mêmes au contraire que l’on nous invite à douter, comme le montre l’affirmation de M. Claude Allègre : « Il n’y a pas de Français de souche… » En lisant son interminable article, qui occupe toute une page du Figaro, on était accablé par l’insondable sottise de ses élucubrations sur notre identité nationale : pour Allègre, la France ne commence pas au baptême de Clovis ni à la bataille de Bouvines, pas même en 1789, mais en 1946, avec la création de la sécurité sociale ! Laquelle, on le sait, intéresse au moins autant les immigrés que les Français de souche…

 

Une offensive délibérée contre l’identité

Comment peut-on être français de souche, en dépit de M. Allègre ou du Lyssenkiste Didier Raoult ? On aurait tort de s’amuser de l’évidente absurdité de ses propos. Comme ceux de Nicolas Sarkozy lui-même (« La France d’après (…), c’est une France où l’expression « Français de souche » a disparu »), ils participent d’une offensive délibérée contre ce que nous avons de plus précieux : notre identité. En subvertissant les mots, le but est d’imposer aux Français un principe nouveau en vertu duquel la France serait un contenant sans contenu déterminé, ouvert à tous les vents mauvais de l’immigration. Paul Doumer nous avertissait déjà, il y a un siècle : « N’écoutez pas les sophistes qui professent un cosmopolitisme dissolvant, qui nient la patrie et qui répudient le devoir. Ce sont des ennemis publics. S’ils étaient suivis, ils précipiteraient la France vers la décadence et la mort, comme leurs aînés ont fait de la Grèce et de Rome. » (Le Livre de mes fils, 1906).

Soyons fiers d’être des Français de souche, n’en déplaise aux cosmopolites. Nous devons, en tant que tels, être animés par la volonté de perpétuer l’inestimable héritage que nous avons reçus indivis.

 

L’impertinence de certains immigrés 

L’impertinence de certains immigrés dépasse l’entendement. La moindre des choses, quand on est invité chez quelqu’un, c’est de lui témoigner le respect auquel il a droit. Mais Mme Houria Bouteldja n’en a cure. D’origine nord-africaine, cet émissaire des soi-disant « Indigènes de la République » nous a révélé le 2 juin 2007, dans une émission de France 3, tout le bien qu’elle et ses amis pensaient des Français de souche, qu’ils appellent les « sous-chiens »…, les jugeant donc encore plus méprisables que les chiens ! Que dirait-on si, à l’inverse, un Français de souche aussi « raciste » qu’elle avait qualifié Mme Bouteldja et ses congénères de porcs ou de « sous-porcs » ?

 

Fiers d’être Français de souche

L’essentiel, cependant, n’est pas là. Nous devons désormais revendiquer avec force cette appellation de Français de souche dont on voudrait nous faire injure. Nous sommes fiers d’être des « Français de souche », parce que ce sont eux qui ont fait la France depuis Clovis et qu’elle est la plus grande et la plus belle des nations qui aient jamais existé sur la Terre. Les Français de souche sont les vrais Français. Les immigrés ne sont les bienvenus que s’ils acceptent de se fondre, eux et leurs descendants, dans la communauté nationale, en renonçant à leur identité d’origine.

 

Assimilation et assimilabilité

Les Français de souche sont de vrais Français, par opposition aux Français de papier, c’est-à-dire à ces gens issus de l’immigration qui ont reçu la nationalité française sans être réellement devenus français. Mais je ne conteste pas qu’il y ait une troisième catégorie : les immigrés qui ont réussi leur assimilation à la communauté nationale. L’assimilation est la clé du problème, elle ne se confond pas avec une prétendue « intégration » qui ne signifie rien. Encore faut-il admettre que l’assimilabilité ne se décrète pas. Sans faire acception de quiconque en particulier, il est clair que les masses venues du tiers monde sont inassimilables en raison de leur religion ou de leur race. La question musulmane et la question noire se conjuguent pourmenacer la France d’éclatement.

 

Expulser les Français de papier pour que la France redevienne la France

Disons-le tout net : les Français de papier à la manière de Mme Bouteldja n’ont pas leur place dans la République. Puisqu’ils affectent de mépriser les Français de souche, dont ils sont en réalité jaloux, c’est qu’ils rejettent la France elle-même. Il faut les déchoir de la nationalité française et leur demander de regagner la patrie de leurs ancêtres. Le plus tôt sera le mieux. On ne peut rien attendre, à cet égard, des candidats de la fausse droite qui souhaitent intégrer les immigrés pour mieux désintégrer la France. Une France qui ne serait plus la France, mais un « espace » où les Français de souche auraient disparu par brassage et par métissage, submergés par l’immigration issue du tiers monde.

 

En tant que candidat de la vraie droite, je propose d’organiser le départ des Français de papier. Commençons par 2 millions de réémigrés en 5 ans.

 

Henry de Lesquen

Président du Parti national-libéral

Président de Voix des Français

 

(3 commentaires)

  1. Monsieur Henry de Lesquen,

    Je suis un fidèle auditeur de Radio Courtoisie et de confession juive…Bien que je ne sois pas toujours d’accord avec les propos tenus par les intervenants, je prends plaisir à écouter la plupart des émissions.

    Pourquoi faites vous une obsession sur les juifs français ? Juif français serait un oxymore ?

    Votre grand Mere maternelle se nommait Camille Medina et etait d’origine hispanique. Avez vous fait des recherches sur sa judéité ?

    Bien à vous

    Michael BISMUTH

  2. Voici un génial article de Dr Anatoly Livry paru sur « Riposte Laïque » : « Je conclurais en ces termes : l’immonde loi Fabius-Gayssot n’a pas rempli son rôle intrinsèque, celui d’éviter les pogroms et les meurtres des Juifs français – les statistiques des États européens ayant échappé aux oukases contre les « contestations de crimes contre l’Humanité pendant la IInde Guerre mondiale » le prouvent clairement. Pire encore : par sa perversité, la loi Fabius-Gayssot encourage les actes délictuels visant les Juifs français, car elle excite l’envie de mahométans entassés en France par les mêmes socialo-communistes qui, plus suicidaires que traîtres, voient dans l’oumma la source inépuisable de leurs futurs électeurs ! Cependant, comme je l’avais déjà précisé et que je le répète en toute conscience (car la pédagogie, c’est la répétition), ces promoteurs de la loi Fabius-Gayssot se moquent ouvertement des Juifs français. Soyons plus clair : cela ne sera pour eux que satisfaction si ces Juifs occidentaux périssent par centaines de milliers, nouvelles victimes collatérales de l’installation d’un gouvernement mondial sur une planète sans races ni peuples – une Terre déchirée par l’inculture et la laideur, la criminalité multi-ethnique et des guerres inépuisables, chaos aisé à administrer par une poignée des yahoos. »
    Dr Anatoly Livry, « Réflexions d’un Juif : loi Fabius-Gayssot, source du génocide des Européens »

    http://ripostelaique.com/reflexions-dun-juif-loi-fabius-gayssot-source-genocide-europeens.html

    Si vous citez ce texte, mentionnez son auteur et sa source !

  3. « Houria Bouteldja n’en a cure. D’origine nord-africaine, cet émissaire des soi-disant « Indigènes de la République » nous a révélé le 2 juin 2007, dans une émission de France 3, tout le bien qu’elle et ses amis pensaient des Français de souche, qu’ils appellent les « sous-chiens » » elle dit souchien en se basant sur le mot souche

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *