L’algèbre de l’immigration
Aussitôt nommé à l’Intérieur, en 2002, M. Sarkozy a déclaré qu’il fallait remiser le principe de l’immigration zéro au rayon des vieilles lunes.
« L’immigration zéro », c’était la doctrine officielle de tous les gouvernements successifs, de gauche comme de droite, depuis 1974. L’expression signifiait que le nombre des entrées d’immigrés (« x« ) devait être équilibré par celui des sorties (« y« ) : x – y = 0. Mais, pour Sarkozy, il devait en venir bien davantage : « x » devait être désormais très supérieur à « y ». C’est l’immigration positive.
Je suis hostile à l’immigration zéro… Je suis encore moins pour l’immigration positive de M. Sarkozy, M. Hollande ou M. Micron.
Je suis pour l’immigration négative : « y » doit être (très) supérieur à « x ». Il faut inverser les flux migratoires, en sorte que les départs d’immigrés l’emportent de beaucoup sur les arrivées.
Henry de Lesquen
Président du Parti national-libéral
Bravo ! Vous êtes un des rares à oser dire la vérité aux Français !
Bonjour cher collègue. Nous, étudiants de CentraleSupélec, sommes nombreux à soutenir ce grand Français.
C’est simple. Il suffit d’imposer la culture du pinard et du cochon et les flux s’inverseront mécaniquement
Étant un lesquéniste convaincu, je considère la réémigration comme une solution humaine et républicaine. Il faut que les congoïdes fassent connaissance avec le pays de leurs ancêtres pour qu’ils le relèvent. Ceci est une tâche humaniste et d’une grande noblesse que la France peut mener à bien. C’est une priorité qui doit gouverner la politique africaine de la République.
Ne nous y trompons pas, il s’agit d’un combat pour la dignité des personnes de race congoïde que partage l’un des leurs, le ci-devant Stellio Capo Chichi dit « Kémi Séba », appelant au retour en Afrique sans délai.