Nettoyage ethnique
Le feu couvait sous la cendre
Les événements de Géorgie nous ont rappelé la difficulté d’être des sociétés multiculturelles. En Ossétie du Sud, les indigènes Ossètes vivaient côte à côte avec des immigrés d’ethnie géorgienne venus de l’intérieur du pays. Leurs relations semblaient paisibles, mais le feu couvait sous la cendre. L’intervention de l’armée géorgienne, défaite par les Russes, a donné lieu à un “nettoyage ethnique” de l’Ossétie du Sud, qui est redevenue homogène, après le départ précipité de presque tous les Géorgiens. “Nettoyage ethnique” : l’expression est certes épouvantable, quand on songe au poids de malheurs qu’elle représente pour ceux qui en sont les victimes et qui, s’ils ne sont pas massacrés, doivent fuir le pays où ils ont toujours habité. Elle a d’abord été employée par les Serbes, pendant la guerre de Yougoslavie. Mais ceux qui l’avaient théorisé en ont bientôt été l’objet à leur tour, notamment au Kossovo, où les Serbes ont été férocement persécutés par les Albanais musulmans, devenus majoritaires dans la province. Le nettoyage ethnique est aussi vieux que l’humanité. Il a été réalisé, par exemple, à la fin de la Seconde Guerre mondiale, au détriment de millions d’Allemands qui vivaient dans les territoires annexés par la Pologne et la Tchécoslovaquie. Plus récemment, en 1962, les Français d’Algérie ont subi à leur tour un nettoyage ethnique qui ne disait pas son nom.
La loi d’hétérogénéité-violence
Lorsque ce terrible phénomène s’amorce, quelque part dans le monde, les media relayent à peu près toujours les mêmes vains commentaires en forme de lapalissade : “C’est incompréhensible. Tout allait si bien, avant, entre eux et nous…” Et d’accuser de mauvais génies d’avoir artificiellement suscité la haine entre des communautés qui étaient faites pour vivre harmonieusement ensemble. Bien sûr, on ne peut pas ignorer le rôle joué par les activistes qui sont, en apparence, à l’origine du conflit. Mais une étincelle ne peut pas provoquer d’incendie si la matière n’est pas inflammable. Le nettoyage ethnique et son cortège de malheurs sont souvent une fatalité, parce que les sociétés multiculturelles sont multiconflictuelles. Il y a une loi sociale d’hétérogénéité- violence : plus une société est hétérogène, plus elle est violente. En dernière analyse, les vrais responsables de la guerre civile sont ceux qui ont créé ou qui ont laissé se créer un mélange d’ethnies ou de communautés qui devait exploser tôt ou tard.
La France n’est pas à l’abri
La France n’est pas à l’abri des violences intercommunautaires. Le nettoyage ethnique est déjà réalisé, à petite échelle, dans les cités de l’immigration, dont les Français de souche ont dû déguerpir. Les émeutes qui se produisent régulièrement dans nos banlieues sont un avant-goût de ce qui nous arrivera si nous ne prenons pas les bonnes décisions. Il ne suffit pas d’arrêter l’immigration, il faut inverser les flux migratoires. (…) Nous devons combattre cette politique irresponsable, en expliquant aux Français qu’une autre politique est possible.
Il faut ramener la France à son identité. C’est pour éviter le nettoyage ethnique que nous proposons la réémigration.
Henry de Lesquen
Edito publié sur le site de la VdF
Lecture complémentaire :
M’est avis que le titre de l’analyse eût gagné à être débarrassé du point d’interrogation.
Il y a une vidéo céans où vous rappeliez avec esprit que l’on fusillait les défaitistes en temps de guerre mais qu’ils seraient trop nombreux à fusiller de nos jours. Tout ça n’est pas faux et présage de la suite à venir, inéluctable.
Car combien de français seraient en mesure de défendre manu militari ne serait-ce qu’une chose aussi précieuse que la vie de leurs enfants, outre leur biens ?…
Combien de minutes ou au mieux d’heures – vu l’absence total de stocks de munitions – tiendraient nos commissariats, gendarmeries ou ce qu’il reste de casernes face à des hordes allogènes ?… De quels coté seraient alors tout ou partie des policiers et militaires musulmans bi-nationnaux ?…
L’un de mes voisins, on va l’appelez M. Faucon Yaka me tenait discours quant à la nécessité que le Peuple se devait de réagir, d’être solidaire, de chasser ce gouvernement néfaste qui oeuvre à la destruction de notre civilisation.
– Tu es armé maintenant ? que je lui demande (ça fait plus d’un an qu’il me dit qu’il va s’armer)
– Euh nan j’ai rien trouvé euh patatipatata…
– Ah. ( Je lui avait dit de souscrire une Licence de tir sportif dans mon club). Mais comment tu crois que ça va se passer si tu ne parviens même pas à armer le seul élément du peuple que tu as sous la main : Toi-même ?!
Monsieur Mathieu, » Ah. ( Je lui avaiS dit ».
Cordialement.
C’est évident. Et les armes elles sont dans les banlieues . Avec la drogue. Pas chez Dupont la joie.
La solution est politique. Il y a de nombreux mouvements qui prône la remigration, mais les immigrés de pays tiers ne veulent pas remigrer. Ils remigrent pour leur retraite seulement, comme le père de Rachida Dati ou la mère de Rama Yade, mais pas avant la retraite. Ils sont là de la naissance à la retraite.
Il n’y a aucun pb de viande hallal dans les maisons de retraite française car ils n’y vont pas: ils rentrent tous chez eux.
[…] op-ed was apparently written during the presidency of Nicolas Sarkozy, but was more recently republished on Lesquen’s campaign […]
[…] op-ed was apparently written during the presidency of Nicolas Sarkozy, but was more recently republished on Lesquen’s campaign […]