Voici la vérité sur les valeurs républicaines. 10 illustrations, 3 compléments, une conclusion.
1. Ordre. Adolphe Thiers justifie la répression impitoyable de la Commune de Paris.
2. Patrie. Paul Bert proclame que l’on n’est pas républicain si l’on renie la patrie.
3. Responsabilité. Waldeck-Rousseau demande que les récidivistes soient déportés.
4. Civilisation. Jules Ferry affirme la grandeur et la supériorité de notre civilisation.
5. Devoir. Paul Doumer condamne l’immoralité du cosmopolitisme.
6. Héroïsme. Raymond Poincaré célèbre le courage de nos soldats, prêts à mourir pour la patrie.
7. Ancêtres. Clemenceau rappelle aux Français qu’ils sont le produit d’une lignée.
8. Race. Herriot dénonce les dangers d’une immigration qui porte atteinte à la substance charnelle de notre peuple.
9. Sécurité. Dormoy s’alarme des dangers de l’immigration pour la sécurité des Français.
10. Identité. De Gaulle rappelle cette évidence : la France est un pays de race blanche.
C1. Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, article 3. “Le principe de toute souveraineté réside essentiellement dans la nation. »
C2. Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, article 17. “La propriété est un droit inviolable et sacré…”
C3. La Marseillaise : “Allons, enfants de la patrie, le jour de gloire est arrivé !… Qu’un sang impur abreuve nos sillons !”
Conclusion. Le cosmopolitisme est la négation des valeurs républicaines. Nous seuls, nationaux-libéraux, avons le droit de nous en réclamer.
Henry de Lesquen
Président du Parti national-libéral (PNL)
Cinq franc-maçon sur dix ! Et arrêtez l’amalgame : République = France
La France est une nation. La république est le régime politique qui établit la souveraineté de la nation.
La France est un Etat et la République réfère au peuple et non à la nation
je préfère le polytechnicien Rossel a l’ignoble thiers
ces hommes montrés en exemple ont été des salopards. La république n’est pas la France mais l’antifrance.
Dans vos citations républicaines, il manque Léon Blum : « Nous admettons qu’il peut y avoir non seulement un droit, mais un devoir de ce qu’on appelle les races supérieures, revendiquant quelquefois pour elles un privilège quelque peu indu, d’attirer à elles les races qui ne sont pas parvenues au même degré de culture et de civilisation… » (Discours à la Chambre des députés, 9 juillet 1925)