Un mulâtre à la Maison Blanche
Par Henry de Lesquen
Un incroyable battage médiatique
Barack Hussein Obama Junior n’est pas noir, puisque sa mère était blanche. Il n’est pas blanc, puisque son père était un musulman noir natif du Kenya et d’ethnie luo. Mère blanche, père noir, c’est un métis ou, plus précisément, un mulâtre. Il a cependant choisi de se faire recenser comme « noir » et il est universellement considéré comme tel. L’élection de ce mulâtre à la Maison Blanche serait pour ainsi dire anecdotique s’il avait été choisi principalement pour ses idées et pour son programme. Or, ce n’est pas le cas. Obama n’a pas gagné en dépit du fait qu’il était noir, mais justement parce qu’il l’était. L’incroyable battage médiatique qui a fait son succès s’explique essentiellement par la couleur de sa peau. « Négrophilie » : le terme désignait autrefois les partisans de l’abolition de l’esclavage. En ce sens, nous sommes tous des négrophiles ! Mais la négrophilie d’aujourd’hui a un tout autre contenu. Il ne s’agit plus de faire des noirs des citoyens comme les autres. La question est réglée. La négrophilie est maintenant un racisme à rebours qui donne systématiquement l’avantage aux personnes de race noire sur celles qui sont de race blanche.
Dans les media, c’en est devenu ridicule : le noir est toujours sur la photo ! Un journaliste de France Info a déclaré, à propos du champion de Formule 1, Hamilton, pour l’excuser de son arrogance : « Il est fier d’être noir ! » Ce journaliste aurait-il honte d’être blanc ?
La négrophilie délirante des media
La négrophilie des media était déjà délirante. L’élection d’Obama n’a rien arrangé. En France, comme aux Etats-Unis, l’idéologie dominante favorise les prétendues « minorités visibles » : les noirs, les musulmans… Obama était la quintessence du rêve cosmopolite de la société sans identité : un noir d’origine musulmane. De son père, il n’a pas seulement hérité du patronyme, mais aussi de ses deux prénoms. « Barack » est un mot arabe qui signifie « béni » et Hussein était le nom du petit-fils de Mahomet. Dans ces temps de discrimination dite « positive », il ne fait pas bon d’être blanc en France, pas plus qu’aux Etats-Unis, où John McCain – et Donald Trump aujourd’hui – en a fait l’amère expérience, lui qui était un héros de la guerre du Vietnam. Les Français de souche devraient-ils s’excuser d’être ce qu’ils sont ? Si elle ne se ressaisit pas, la France perdra son identité, puisque, comme l’a dit de Gaulle, elle est « avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne ».
Une droite dévoyée
Quand on lit que Nicolas Sarkozy et Dominique de Villepin, pour une fois réconciliés, ont fait chorus pour souhaiter la victoire d’Obama, en justifiant expressément leur position par ses origines raciales, on voit que l’on ne peut rien espérer d’une droite dévoyée, qui se réclame hypocritement du général de Gaulle. On ne peut espérer un changement de cap tant que les partis populistes ne participeront pas au gouvernement, comme c’est déjà le cas en Italie. Le populisme est apparemment, aujourd’hui, la seule solution pour un Occident en crise. Si j’étais américain, je voterais pour Donald Trump, seul rempart contre l’oligarchie cosmopolite.
Henry de Lesquen
Président du Parti national-libéral
(Publié initialement sur la VdF)
wow
Bonjour – Monsieur De Lesquen dit des vérités pour lesquelles une grande partie du « tout le monde » est d’accord , mais qui n’ont pas le courage de le crier haut et fort, qui n’ont pas le courage de dire « stop » aux aides sociales car ils profitent largement eux-mêmes, ne serait-ce que des allocations familiales (oh ! on a voulu avoir trois enfants !) ; de plus en plus « fainéants » sont ces français, et ne parlons pas de tous ces voyageurs qui, arrivés dans notre poubelle qu’est la France aujourd’hui, s’empressent de « prendre du poids » tant la chère gratuite est bonne. Sans parler de leur occupation première (faute d’avoir le courage de travailler) qu’est en fait « faire des enfants » dont ils ne s’occuperont pas, plus tard, car à ce jour des dizaines d’enfants sont dehors à jouer en période scolaire à 21 heures chaque jour. Ne parlons pas de leur éducation de leur vocabulaire. Peut être y aura – t- il un jour un bac spécifique ! En attendant, tous ces français n’entendent jamais parler de l’hymne national quand ils s’inscrivent dans les écoles spécifiques publiques.
Il y a quelques jours une turque (ne parlant pas un mot de français depuis 10 ans qu’ils sont installés dans ma commune, m’a fait répondre par son fils qui fréquente l’école primaire: ah non surtout pas je n’apprendrai jamais le français, je n’aime pas la France. En attendant elle est propriétaire (avec son mari je suppose) de plusieurs maisons dont une qu’elle loue aux gens « qui arrivent « , paiement du loyer en espèces s’ impose ! une de ses locataires est dans le même cas, elle vient de l’est et ne veut surtout rien entendre de la langue française, elle vient d’avoir son deuxième enfant ; du travail ? bien sûr que NON. On vient en France parce que l’on est entretenu et que l’on aurait pas besoin de travailler. J’ai vraiment honte pour la France. Je vis le rassisme, je supporte le rassisme de ces gens quasiment chaque jour parce que je ne m’exprime pas sur les questions religieuses que je n’achète rien chez les commerçants qui ne nous respectent pas. Je me sens abandonnée, sans les grandes valeurs dont j’étais nourrie. Il ne s’agit pas pour moi de problème de couleurs de peau, il s’agit du manque de respect de cette masse de réfugiés (réfugiés de quoi ? ils viennent faire leur guerre ici, en France, contre nous sur notre territoire) que nous nourrissons en instruisant leurs enfants qui, eux, ne paient pas la cantine scolaire.
Oui, quelquefois, vous pouvez, nous pouvons être un peu trop direct dans nos propos, mais, ces gens qui nous envahissent gentiment, nous font leur guerre, ne sont-ils pas extrémistes, haineux envers nous ?
Comme de nombreux Français, je suis déçue de constater que l’on n’entend plus parler français ni dans les transports en commun, ni « nulle part » en fait. Pourtant, notre langue était la plus appréciée de la plupart des pays voisins, amis ou ennemis. Le Larousse disparaîtra – t – il un jour ? La France perdra – t – elle sa culture ? Le château de Versailles deviendra – t – il propriété étrangère? S’en est-il fini d’être fier d’être français ? existerons-nous encore ? pour combien de temps ?
Excusez ma manière de m’exprimer, je n’ai pas votre savoir ni votre niveau d’études. Quelles peuvent – être les raisons qui fasse que l’on s’intéressât à chercher une autre planète hospitalière ??? Que penser ?
Cordialement, CKC
IL est cocace que vous soyez un bourgeois populiste. Mais vous avez raison: quand Obama fut élu, on eût dit que c’était le messie. Il allait sauver le monde parce qu’il était noire. « La négrophilie médiatique » arrive à grand-peine à imposer quelques visages non pâles comme présentateur du JT ou animateur vedette. Quand Hary Roselmak porta avec ou sans son consentement le drapeau de « la discrimination positive », on salua qu’il était noir en oubliant qu’il était martiniquais, donc français depuis longtemps. quoi que vous pensiez des DOM-TOM qui ne seraient pas français et gagneraient à être des protectorats. L’antiracisme est nocif parce qu’il produit une cristallisation sur le racisme. La seule façon de sortir du racisme serait de banaliser les races et le racisme. Donc un mulâtre pourrait être élu à la maison blanche sans qu’on signale qu’il est mulâtre ni qu’il s’inscrive comme citoyen noir.Accessoirement, ce qui empêche un peuple de faire nation, qu’elle soit identitairement déterminée ou non, c’est que chacun s’y promène avec ses obsessions. Vous avez la passion d’une nation avec conscience de race ou d’une nation raciale, Philippe Martinez a la passion de taper sur les patrons, et moi, j’ai la passion de tout discuter.
les noirs representent 13% de la population americaine et il n y a jamais eu un seul president noir car, comme vous le faites remarquer, Obama est mulatre. Donc, il est comprehensible qu il y ait un engouement pour un president dit noir.
Je vous ecoute souvent sur radio courtoisie et j ai beaucoup d admiration pour votre grande intelligence et votre culture encyclopedique. Je ne partage pas toutes vos opinions, loin s en faut, mais je trouve que vous y defendez vos idees avec brio et beaucoup de reflexions.
J avoue que sur ce site, je suis decu. En dehors du programme et encore, le racisme republicain, uhm…
J ai l mpression que vous cedez a un esprit potache d extreme droite en ecrivant des billets d humeur a l emporte piece.
Ressaisissez vous! Vous n etes pas Trump; vous n etes pas un milliadaire americain mal degrossi populiste, Vous etes un aristocrate, un polytechnicien et un ancien haut fonctionnaire. A vous seul vous incarnez l elite francaise. Plutot que de nous parler d oboma de l equipe de ballonpied ou du ballonpanier comme disent les espagnols vous feriez mieux d aborder le sujet en profondeur et finesse comme vous savez le faire: La composition ethnique et religieuse de la France est en train de changer profondement. Cela ne s etait pas produit depuis 2000 ans. En avons nous conscience? Est ce un probleme? Ect…
Si vous voulez rester plus terre a terre, mieux vaut parler des victimes. Il y a quelques semaines j ai ete choque par un reportage sur une chaine de television. Elle expliquait le succes de Trump, en montrant un de ses electeurs typiques. Il s agissait d un americain d une cinquantaine d annee au chomage. Il avait vote democrate toute sa vie et qui allait voter Trump. j avais l impression que le fait d etre un homme mur et de ne pas appartenir a une minorite rendait le personnage meprisable. Ce brave homme avait peut etre une famille, les etudes de ses enfants a payer ou un credit. Nous n en saurons jamais rien puisqu il fait partie de la categorie meprisable des electeurs de Trump.