Comment Henry de Lesquen aurait réglé la question sud-africaine

Uchronie. Voici en 10 points, plus une conclusion, comment j’aurais réglé la question sud-africaine après 1990.

 

1. Principe des nationalités. Un État sur un territoire continu pour chaque ethnie bantoue : Zoulous, Xhosas, Sothos, etc.

 

2. Les Etats bantous auraient été des protectorats de la République sud-africaine (RSA). Ils auraient eu vocation à l’indépendance.

 

3. Les personnes de race congoïde (noirs bantous) auraient perdu la nationalité sud-africaine pour prendre celle de leur État ethnique.

 

4. Peuple sud-africain : personnes de race caucasoïde, d’origine européenne, (blancs) et métis caucasoïdes-capoïdes (noirs hottentots).

 

5. Souveraineté du peuple : la RSA aurait été une démocratie. Caucasoïdes ou métis, tous les citoyens auraient été égaux.

 

6. Résidents étrangers en RSA, les congoïdes n’auraient pu acquérir la nationalité sud-africaine, la binationalité étant interdite.

 

7. L’apartheid, régime de ségrégation obligatoire, aurait été aboli. Les personnes privées auraient gardé la liberté de discrimination.

 

8. La sécurité aurait été rétablie grâce à une répression implacable des actes terroristes.

 

9. Nelson Mandela aurait été rejugé comme chef d’une organisation terroriste, l’ANC, condamné à mort pour ses crimes et pendu haut et court.

 

10. La subversion des institutions et la collaboration avec les terroristes, entreprises criminelles, auraient été sévèrement réprimées.

 

Conclusion. Ni Vorster ni Botha. Forte de son identité, la nation sud-africaine aurait recouvré sa place dans le monde.

 

Henry de Lesquen

Président du Parti national-libéral

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