Isaac bénissant Jacob, de Govert Flinck (1638)
Voici 10 thèses catholiques sur le judaïsme antique et les Juifs de l’Antiquité.
1. Les Juifs ou Hébreux étaient originellement polythéistes. Elohim, les dieux. Yahvé, dieu ethnique.
2. Les notions de Dieu jaloux, d’une Alliance avec Dieu, supposent un polythéisme originel.
3. C’est le racisme des Juifs qui les a conduits au monothéisme quand ils ont privé de leurs dieux les “Goyim” qu’ils haïssaient.
4. Selon saint Augustin, si Dieu a choisi les Juifs, c’est pour faire des plus pécheurs l’instrument du salut.
5. C’est le Christ qui donne un sens et une fin à l’élection des Juifs. Sans le Christ, la notion de peuple élu est intrinsèquement raciste.
6. Le génocide est fréquent dans l’histoire, mais les Juifs sont les seuls à s’être vantés de ceux qu’ils avaient perpétrés : I Samuel XV…
7. L’Ancien Testament dresse un tableau accablant des crimes et turpitudes commis par les Juifs. Miséricorde de Dieu pour un peuple infâme.
8. L’acte fondateur du peuple juif, c’est l’escroquerie de Jacob-Israël qui dupe son père pour spolier son frère : Genèse, XXVII.
9. Marcion avait tort. Le Dieu de l’Ancien Testament n’est pas mauvais, ce sont les hommes qui l’étaient.
10. Selon saint Paul, la méchanceté des Juifs culmine dans le Déicide, qui clôt l’histoire du peuple élu : I Thessaloniciens II 14-16.
vocabulaire très imprécis !
Monsieur de Lesquin, je ne partage pas votre 10èm affirmation au sujet d’Israel :
10. Selon saint Paul, la méchanceté des Juifs culmine dans le Déicide, qui clôt l’histoire du peuple élu : I Thessaloniciens II 14-16.
Il ne s’agit pas de ma part d’un parti pris particulier pour Israël mais tout simplement de la prise en compte de passages importants de l’épitre aux Romains.
L’enseignement de l’apôtre Paul ne se résume pas à ces versets de la première épitre aux Thessalonicien.
Il est vrai que le peuple d’Israël porte une responsabilité dans le rejet du Messie. Mais vous avez tort de dire que ce rejet et la mise à mort de son Messie clôt l’histoire du peuple juif. Relisez le chapitre 11 de l’épitre aux Romains et vous verrez que ce n’est pas vrai.
J’utilise la version française de John Nelson Darby version ‘protestante’, elle est réputé proche à l’original et je pense qu’une bonne version catholique reproduira sur le fond le même texte.
Je souligne particulièrement les passages suivants :
les versets 11 à 12 Je dis donc : Ont-ils brochés afin qu’il tombassent ? Qu’ainsi n’advienne ! Mais par leur chute (ou faute), le salut (parvient) aux nations pour les exciter à la jalousie. Or, si leur chute est la richesse du monde, et leur diminution, la richesse des nations, combien plus le sera leur plénitude!
le verset 25 : Car je ne veux pas, frères, que vous ignoriez ce mystère-ci , afin que vous ne soyez pas sages à votre propres yeux: c’est qu’un endurcissement partiel est arrivé à Israël (il s’agit des juifs pharisiens et talmudistes) jusqu’à que la plénitude des nations soit entrée; et ainsi tout Israël sera sauvé
les versets 28 et 29 : En ce qui concerne l’évangile ils sont ennemis à cause de vous ; en ce qui concerne l’élection, ils sont bien aimés à cause des pères. Car les dons de grâce et l’appel de Dieu sont sans repentir.
Ces versets en particuliers mais tout le chapitre montre clairement que le rejet du peuple d’Israël n’est que momentané.
Le problème est de savoir si la distinction entre Israël et l’Eglise perdurera alors.
Certains chrétiens protestants appelés darbystes (mes parents l’étaient) pensent qu’Israël revenu dans la terre, après un période de grandes tribulations, se convertira en reconnaissant le Messie qu’il avait mis à mort, et alors les prophéties de l’Ancien Testament d’un Messie glorieux régnant sur Israël se réaliseront. Dans l’Ancien Testament il y a deux sortes de prophétie sur le Messie, celle annonçant une messie rejeté et souffrant (Esaïe 53) et celle annonçant un messie glorieux (certains psaumes). La vocation de l’Eglise elle reste céleste et n’est pas concernée par ces prophéties d’un messie glorieux qui ne concerne qu’Israël. Dans cette interprétation-là Israël et l’Eglise demeurent séparés.
J’avoue être hésitant sur cette interprétation. Mais par contre il me paraît incontestable que le chapitre 11 de l’épitre aux Romains montre clairement que le rejet du Messie par Israël n’a pas mis pour autant fin à l’existence de ce peuple qui reste appelé à se convertir sans perdre pour autant son identité de peuple élu.
Mais non. Saint Paul est parfaitement cohérent. Il espère que ses frères de race se convertiront, c’est tout. Mais cela n’annule pas l’accusation explicite de Déicide (moins le mot) dans I Thessaloniciens II 14-16. A cet égard, attention aux traductions trafiquées comme celle de la Bible de Jérusalem ! Utilisez Lemaître de Sacy ou TOB.
Que l’Eglise soit le Verus Israel, cela résulte notamment de l’Apocalypse de Saint-Jean, chapitre II, versets 8-9 : « Ecrivez aussi à l’ange de l’Eglise de Smyrne (…) vous êtes noircis par les calomnies de ceux qui se disent Juifs et qui ne le sont pas, mais qui sont la synagogue de Satan. »
N’oubliez pas que le judaïsme d’aujourd’hui est le judaïsme pharisaïque de l’époque du Christ, celui des pharisiens dont parle l’Evangile.
Cher monsieur,
Vos dix points sur le judaïsme sont intéressants mais certains me paraissent d’une orthodoxie pour le moins discutables :
Le point 3 : C’est le racisme des Juifs qui les a conduits au monothéisme quand ils ont privé de leurs dieux les “Goyim” qu’ils haïssaient.
Explication intéressante, qu’aurait appréciée un Renan, mais qui n’existe pas dans la théologie traditionnelle qui fait appel à une révélation particulière donnée à ce peuple à travers Moïse et les prophètes.
Le point 5 : C’est le Christ qui donne un sens et une fin à l’élection des Juifs. Sans le Christ, la notion de peuple élu est intrinsèquement raciste.
Le Christ donne un sens à l’élection des Juifs, mais il n’est pas dit qu’Israël ne soit plus le peuple de Dieu puisque l’apôtre Paul dit au chapitre 11 verset 2 de l’épitre aux Romains : Dieu n’a point rejeté son peuple qu’il a connu dans sa prescience (version de Sacy).
Le point 7 : L’Ancien Testament dresse un tableau accablant des crimes et turpitudes commis par les Juifs. Miséricorde de Dieu pour un peuple infâme.
Excepté la dernière phrase, on croirait lire du Voltaire.
Bon plus sérieusement il est vrai que le peuple juif s’est souvent détourné de son Dieu, mais sommes-nous meilleurs ?
Je vais à nouveau appel à l’apôtre Paul Romains ch 11 v 17-21 : Si donc quelques-unes des branches ont été rompues ; et si vous, qui n’étiez qu’un olivier sauvage, avez été enté parmi celles qui sont demeurées sur l’olivier franc, et avez été rendu participant de la sève et du suc qui sort de la racine de l’olivier ;18 ne vous élevez point de présomption contre les branches naturelles. Si vous pensez vous élever au-dessus d’elles, considérez que ce n’est pas vous qui portez la racine, mais que c’est la racine qui vous porte.19 Mais, direz-vous, ces branches naturelles ont été rompues, afin que je fusse enté en leur place.20 Il est vrai : elles ont été rompues à cause de leur incrédulité ; et pour vous, vous demeurez ferme par votre foi ; mais prenez garde de ne pas vous élever, et tenez-vous dans la crainte.21 Car si Dieu n’a point épargné les branches naturelles, vous devez craindre qu’il ne vous épargne pas non plus. Conclusion Nous n’avons pas à nous croire, par nature, supérieurs aux juifs.
Point 8 : L’acte fondateur du peuple juif, c’est l’escroquerie de Jacob-Israël qui dupe son père pour spolier son frère : Genèse, XXVII.
Jacob a été fourbe, c’est entendu, mais dans l’histoire des peuples il est d’autrse héros éponymes à la morale douteuse, par exemples Romulus. Et puis il y a d’autres actes fondateurs pour Israël, comme l’appel de Dieu à Abram, puis son alliance avec Abraham (son nouveau nom).Genèse ch 17 v 5 -7.
Point 10 : Selon saint Paul, la méchanceté des Juifs culmine dans le Déicide, qui clôt l’histoire du peuple élu : I Thessaloniciens II 14-16.
Il est préférable de ne pas utiliser le mot déicide (de même que l’expression Mère de Dieu) Ces deux expressions ne sont pas logiquement fausses mais elles dont dangereuses car elles peuvent être mal interprétés.
Il est faux de prétendre qu’il n’y a aucun rapport entre l’Israël actuel et celui de la Bible. Le continuité est lointaine, tortueuse, mais incontestable. Le judaïsme talmudique actuel, n’est plus la religion juive d’avant Jésus mais on ne peut prétendre qu’il n’y a pas des liens entre les deux religions. Donc l’histoire de ce peuple continue. Il est rejeté par Dieu actuellement mais cela ne sera pas pour toujours. A la fin Israël se convertira et reconnaîtra Jésus pour son Messie comme il est dit en Romains ch 11v 25-26 : Une partie d’Israël est tombée dans l’endurcissement, jusqu’à que la totalité des nations soit entrée. Et ainsi tout Israël sera sauvé. Ce n’est pas un souhait de la part de l’apôtre Paul mais une affirmation prophétique. (Et il n’est pas un simple théologien, mais un auteur divinement inspiré de la Bible).
Pour terminer je vous dirai que je suis en accord avec vous sur le fait que le message chrétien s’adresse aussi aux juifs et que prétendre le contraire est une apostasie.
Je me permettrai cependant d’ajouter que vos dix points ne sont peut-être pas la meilleure manière de s’y prendre.
Cordialement
Monsieur de Lesquin, je ne partage pas votre 10èm affirmation au sujet d’Israel :
10. Selon saint Paul, la méchanceté des Juifs culmine dans le Déicide, qui clôt l’histoire du peuple élu : I Thessaloniciens II 14-16.
Il ne s’agit pas de ma part d’un parti pris particulier pour Israël mais tout simplement de la prise en compte de passages importants de l’épitre aux Romains.
L’enseignement de l’apôtre Paul ne se résume pas à ces versets de la première épitre aux Thessalonicien.
Il est vrai que le peuple d’Israël porte une responsabilité dans le rejet du Messie. Mais vous avez tort de dire que ce rejet et la mise à mort de son Messie clôt l’histoire du peuple juif. Relisez le chapitre 11 de l’épitre aux Romains et vous verrez que ce n’est pas vrai. J’utilise la version française de John Nelson Darby version ‘protestante’, elle est réputé proche à l’original et je pense qu’une bonne version catholique reproduira sur le fond le même texte.
Je souligne particulièrement les passages suivants :
les versets 11 à 12 Je dis donc : Ont-ils brochés afin qu’il tombassent ? Qu’ainsi n’advienne ! Mais par leur chute (ou faute), le salut (parvient) aux nations pour les exciter à la jalousie. Or, si leur chute est la richesse du monde, et leur diminution, la richesse des nations, combien plus le sera leur plénitude!
le verset 25 : Car je ne veux pas, frères, que vous ignoriez ce mystère-ci , afin que vous ne soyez pas sages à votre propres yeux: c’est qu’un endurcissement partiel est arrivé à Israël (il s’agit des juifs pharisiens et talmudistes) jusqu’à que la plénitude des nations soit entrée; et ainsi tout Israël sera sauvé
les versets 28 et 29 : En ce qui concerne l’évangile ils sont ennemis à cause de vous ; en ce qui concerne l’élection, ils sont bien aimés à cause des pères. Car les dons de grâce et l’appel de Dieu sont sans repentir.
Ces versets en particuliers mais tout le chapitre montre clairement que le rejet du peuple d’Israël n’est que momentané.
Le problème est de savoir si la distinction entre Israël et l’Eglise perdurera alors.
Certains chrétiens protestants appelés darbystes (mes parents l’étaient) pensent qu’Israël revenu dans la terre, après un période de grandes tribulations, se convertira en reconnaissant le Messie qu’il avait mis à mort, et alors les prophéties de l’Ancien Testament d’un Messie glorieux régnant sur Israël se réaliseront. Dans l’Ancien Testament il y a deux sortes de prophétie sur le Messie, celle annonçant une messie rejeté et souffrant (Esaïe 53) et celle annonçant un messie glorieux (certains psaumes). La vocation de l’Eglise elle reste céleste et n’est pas concernée par ces prophéties d’un messie glorieux qui ne concerne qu’Israël. Dans cette interprétation-là Israël et l’Eglise demeurent séparés.
J’avoue être hésitant sur cette interprétation. Mais par contre il me paraît incontestable que le chapitre 11 de l’épitre aux Romains montre clairement que le rejet du Messie par Israël n’a pas mis pour autant fin à l’existence de ce peuple qui reste appelé à se convertir sans perdre pour autant son identité de peuple élu.
1. Il est faux de dire que selon l’Eglise les Juifs étaient polythéistes ; comme tous les peuples antiques, ils ont été tentés par le polythéisme et la Bible le rapporte mais la religion juive ne l’était pas ; l’Eglise n’a jamais dit que le judaïsme antique était un polythéisme. Le pluriel supposé est expliqué par les Juifs différemment : http://www.leava.fr/questions-reponses/non-classee/1940_question-isha.php
2.Non la notion de Dieu jaloux n’implique pas le polythéisme ; la « jalousie » de Dieu n’est pas à l’égard d’autres dieux mais à l’égard des idoles ! Etre jaloux des idoles et de toutes les adorations des choses de ce monde, ce n’est pas croire que ces idoles et ces choses soient des dieux. Erreur logique.
4. Oui pour l’Eglise, les Juifs ont été l’instrument du salut, pour la simple et bonne raison que Dieu a choisi de S’incarner dans un rabbin juif ! Consécration glorieuse pour ce peuple, dont ils pourraient être fiers ; et nous chrétiens sommes fiers d’être des sémites spirituels.
5. La notion de peuple élu n’est pas raciste, la preuve l’Eglise se l’applique à elle même dans sa liturgie quand elle qualifie les baptisés selon la formule de Pierre : « oui, au contraire, vous êtes une race élue, un sacerdoce royal, une nation sainte, un peuple acquis, afin que vous annonciez les vertus de celui qui vous a appelés des ténèbres à son admirable lumière » ! Il faut relire l’Epître de Pierre !
6. Euh non… Himmler dit parlant du génocide des femmes et des enfants que c’était une œuvre glorieuse ! Relisez les discours de Posen de 1943 : https://www.youtube.com/watch?v=6yi9hT8ES2g ; mais de tout temps, les esprits égarés des hommes se sont réjouis des massacres… Pour ceux de l’Ancien Testament, il faut rappeler que les tribus de ces époques devaient parfois détruire d’autres tribus pour ne pas être détruites et Dieu a parfaitement eu raison de dire aux Juifs de se battre car Il avait un plan pour ce peuple et critiquer moralement les Juifs d’avoir obéi à Dieu, c’est critiquer Dieu ! La Bible a peut-être forcé le trait car c’est une oeuvre humaine mais son inspiration divine ne fait pas de doute pour les chrétiens qui croient que les juifs ont eu raison d’obéir aux commandements de Dieu.
7. Dieu ne trouvait tellement pas les Juifs infâmes qu’Il ne cesse de dire Son amour pour Israël dans l’Ancien Testament et Jésus dit qu’il n’est venu que pour les tribus d’Israël ; Dieu ne trouvait tellement pas les Juifs infâmes qu’Il choisit de S’incarner dans ce peuple ; Dieu ne trouve tellement pas les Juifs infâmes qu’Il demande aux chrétiens de recevoir le corps et la sang d’un juif, d’un sémite, à chaque eucharistie…
8. Voilà l’explication d’un rabbin auquel un chrétien doit souscrire car sur ce point il ne peut y avoir de désaccord sauf à remettre en cause Dieu : « Jacob n’a jamais trompé Essav, il s’est simplement déguisé en Essav pour reprendre ce qui lui revenait de droit.
Effectivement, quelques années auparavant, Essav avait vendu son droit d’aînesse à Ya’akov. Si Ya’akov avait dit cela à Its’hak, Its’hak ne l’aurait pas cru avant d’entendre qu’Essav le confirme, ce qu’il n’aurait évidemment jamais fait. Ya’akov se serait trouvé spolié du droit d’aînesse qu’il avait acquis en bonne et due forme. Dans cette mesure, Ya’akov ne pouvait que s’habiller en Essav pour réclamer ce qui lui revenait et il n’y a là aucune tromperie » : http://www.leava.fr/questions-reponses/explications-sur-la-bible/8664_question-cedric.php
9. Lesquen est d’accord avec Marcion mais s’exprime différemment : il ne dit pas « Dieu est mauvais dans l’Ancien Testament » mais les hommes sont mauvais de Lui obéir, ce qui revient au même mais est un peu plus indirect et hypocrite ! Car en fait, s’ils sont mauvais de suivre Ses commandements, c’est que ces commandements étaient mauvais et que Lui l’était ! Sinon c’est que Dieu tromperait l’humanité avec de faux commandements. Il est faux d’opposer les deux testaments : http://www.bvoltaire.fr/jeanpierrecantin/bible-contient-reellement-passages-violents,180260 ; la violence descriptive n’est pas la violence prescriptive comme le dit Philippe de Villiers….
10. La pensée de Saint Paul concernant le peuple juif auquel il se glorifie d’appartenir n’est pas précisée dans une demi-phrase de Théssaloniciens mais dans l’Epitre aux Romains : c’est un mensonge de dire qu’il dit que l’histoire d’Israël se clôt avec la mort de Jésus car il dit clairement qu’à la fin « Tout Israël sera sauvé ». Il a travaillé à la conversion des Juifs et les vrais chrétiens doivent faire d’eux-même ; et ceux qui développent la culture du mépris contre eux insultent le choix de l’élection divine, agissent mal et surtout font le contraire de ce qu’il faut faire pour convertir les juifs… De plus, ce sont les Romains selon une procédure romaine, des soldats romains, un supplice romain qui ont tué Jésus. Et le concile de Trente qui pulvérise après et avant bien d’autres la thèse inepte du peuple déicide : ce sont les mains des pécheurs qui sont déicides, pas un peuple.
Le point 3 a été zappé car il ne veut rien dire.
Le point trois postule que juifs seraient devenus monothéistes pour se différencier des autres races (qu’ils haïssent : Sanhedrin 57, entre autres).
[…] 6. Les Juifs de l’Antiquité se sont vantés dans l’Ancien Testament des génocides qu’ils avaient perpétrés. Cf. http://lesquen2017.com/2015/12/12/comprendre-le-judaisme/ […]