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Réponse d’Henry de Lesquen à Valeurs actuelles

Réponse d’Henry de Lesquen à Valeurs actuelles

 

L’article non signé que vous m’avez consacré dans le numéro de Valeurs actuelles du 13 juillet 2017 au sujet de mon départ de Radio Courtoisie ne contient pour ainsi dire rien d’exact, si ce n’est que j’ai quitté Radio Courtoisie. Il est regrettable que vous ne m’ayez pas interrogé pour vérifier vos informations. Ce procédé est indigne d’un journal qui se veut sérieux.

Je me dois de rétablir la vérité.


1. Contrairement à ce que vous écrivez, je n’ai jamais tenu de propos « racistes ou antisémites ». Attaché aux principes de la république, je réprouve la haine raciale comme toute forme de haine sociale. Je ne suis pas plus raciste que le général de Gaulle, qui a déclaré : « Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne. » Ce genre d’accusations est déplorable parce qu’il divise la droite et fait le jeu de la gauche.
Je n’ai jamais été poursuivi en justice pour ce que j’ai dit à l’antenne de Radio Courtoisie. Je ne l’ai été, à deux reprises, que pour des tweets, billets de 140 signes, que l’on a prétendu racistes, ce que je conteste catégoriquement. J’ai été relaxé dans l’une des deux affaires, tandis que j’ai fait appel de la condamnation prononcée en première instance dans l’autre : je suis donc présumé innocent, et, de surcroît, déterminé à faire prévaloir mon bon droit et à défendre la liberté de pensée.


2. Par 6 voix contre 5, je n’ai pas été réélu au conseil d’administration de Radio Courtoisie lors de l’assemblée générale qui s’est réunie le 1er juillet 2017. Mon mandat d’administrateur et, par voie de conséquence, celui de président, se sont achevés le 12 juillet 2017.
Il est absolument faux que l’assemblée générale ait voté la révocation ad nutum du président, comme vous l’écrivez à tort. Elle a seulement mis fin par anticipation, dès le 1er juillet 2017, quelques jours avant le terme du 12 juillet, au mandat des six administrateurs sortants, dont je faisais partie. J’ajoute que cette délibération, qui a été votée dans une grande confusion, est nulle et non avenue, car elle n’était pas à l’ordre du jour. Les statuts de l’association sont formels à cet égard.


3. Ma fonction de directeur d’émission était indépendante de mon mandat de président de Radio Courtoisie. On n’a donc pas « débranché le micro du président », comme vous l’écrivez élégamment. C’est moi qui ai décidé de mon propre chef, le 3 juillet 2017, d’abandonner mon libre journal du lundi soir, en donnant à l’antenne l’explication de mon départ.


4. Il est faux, absurde et calomnieux d’affirmer que j’aurais commis une faute, a fortiori une faute grave, en dissimulant la procédure de sanction administrative engagée par le CSA à l’encontre de Radio Courtoisie le 21 décembre 2016, laquelle, au demeurant, avait été rendue publique le jour même par une dépêche de l’AFP. En vertu de nos statuts, c’est au président et à lui seul qu’il appartenait de traiter la question, agissant en la matière de sa propre autorité. Je n’étais pas tenu d’en rendre compte à quiconque. Cependant, par courtoisie, j’ai informé en permanence et en détail le secrétaire général de l’association, qui était alors Dominique Paoli, de tout le déroulement de la procédure.
Il est en outre idiot et faux d’affirmer que l’assemblée générale aurait dû se tenir le 15 juillet 2017, alors que le mandat des administrateurs s’achevait le 12 juillet. La date du 1er juillet avait été fixée à la demande du secrétaire général, Dominique Paoli, dès le mois d’avril, bien avant que le CSA nous ait convoqués à l’audience du 5 juillet.


5. Du reste, il n’y avait pas lieu de monter en épingle ladite procédure de sanction, qui pouvait tout au plus aboutir à une petite amende. Je précise en outre que le CSA n’est pas un tribunal : il ne prononce pas de « jugement », comme vous l’écrivez à tort, mais une simple décision administrative, qui peut comporter une sanction, mais non une « condamnation ».
La seule préoccupation que l’on pouvait avoir à cet égard, c’est que la démarche du CSA portait une grave atteinte à la liberté d’expression et relevait d’une intolérable police de la pensée. Il suffit pour s’en convaincre de prendre connaissance des propos incriminés, que j’ai mis en ligne sur Internet.

 

Henry de Lesquen

Président du Parti national-libéral

Le véritable bilan d’Henry de Lesquen à la tête de Radio Courtoisie

MON VÉRITABLE BILAN À LA TÊTE DE RADIO COURTOISIE

 

A l’attention des patrons, responsables d’émission et auditeurs de Radio Courtoisie

Chers amis,

Je vous propose de trouver ci-dessous pour information les explications que j’ai données lundi dernier 3 juillet à la fin de mon libre journal sur les conditions de mon départ de Radio Courtoisie (mises en scène pour YouTube par de jeunes militants) :

 

Le trio des conjurés n’a pas reculé devant les procédés les plus bas et les plus déshonorants pour arriver à ses fins : chantage, duplicité, déloyauté, dissimulation, mensonge, calomnie.

Pour ma part, je suis fier de l’oeuvre accomplie avec toute l’équipe de Radio Courtoisie depuis que j’ai succédé à Jean Ferré en août 2006 et à Christian Langlois en janvier 2007, à leur demande, et avec l’appui indéfectible de Serge de Beketch.

Notre chère radio est un beau navire bien caréné qui peut continuer sur son erre assez longtemps, même avec l’équipe de bras cassés qui s’est emparée frauduleusement de la direction.

Il y avait 17 patrons d’émission en 1987 à la création de Radio Courtoisie, 49 à la mort de Jean Ferré en 2006, 71 au 1er janvier 2016. Ils étaient 74 au 3 juillet 2017, avant mon départ. Vous trouverez ci-joint la grille de programme : il n’y avait plus aucune plage libre. C’est dire que les départs dus à la cabale de 2016 ont tous été remplacés. Aujourd’hui, grâce à ses merveilleux patrons et responsables d’émission, Radio Courtoisie ne cesse de conquérir de nouveaux auditeurs, notamment parmi les jeunes.

Sur le plan technique, la situation est aussi excellente. Vous pouvez vous appuyer sur une équipe de techniciens de grande qualité et de grand dévouement. En outre, les conditions de diffusion se sont améliorées. On peut écouter notre radio sur téléphone mobile depuis 2016 grâce à une application gratuite et le nouveau site Internet que j’ai mis en chantier est en « version bêta » : entre autres progrès, il sera accessible directement sur les téléphones mobiles.

Contrairement aux allégations mensongères des conjurés, la situation financière est saine et solide. Les comptes de 2015 avaient été bons, puisque, pour la première fois depuis sa création, la radio avait une situation nette positive. Les comptes de 2016 ont été mauvais, pour diverses raisons, dont la principale est que nous n’avions fait qu’un seul publipostage d’appel de fonds. La situation nette est négative à hauteur de -139.420 euros, mais elle était de -232.583 euros en 2007, et encore de -152.464 euros en 2009, sans que nul ne s’en préoccupât.

En fait, il suffit de faire davantage d’appels de fonds pour renflouer la trésorerie. C’est pourquoi j’en ai lancé un tout récemment, qui a été mis à la poste le 30 juin 2017. De surcroît, Radio Courtoisie est adossée à un fonds de dotation que j’ai créé en 2010 et qui dispose actuellement d’une cagnotte de 700.000 euros. Autant dire que nous n’avons pas à craindre de rupture de paiement.

Enfin, le 18 janvier 2017, le CSA a reconduit pour 5 ans, jusqu’au 3 septembre 2022, notre autorisation d’émettre.

Les conjurés glosent méchamment sur la procédure de sanction administrative qui a été engagée par le CSA pour des propos tenus dans mon libre journal du lundi soir. Cette procédure peut tout au plus aboutir à une petite amende, ce qui n’aurait rien de dramatique. Le plus grave, en réalité, dans cette affaire, c’est ce qu’elle révèle de l’attitude du CSA, qui s’autorise à porter atteinte à la liberté de pensée pour imposer le politiquement correct. Je vous laisse juge à cet égard des propos incriminés, dont vous trouverez ci-joint la transcription authentique.

Il ne faudrait pas que Dominique Paoli en tire prétexte pour multiplier à tort et à travers les coupures éditoriales dans vos émissions. J’avais beaucoup de mal à la refréner dans ce domaine et je ne serai plus là pour le faire…

A la vérité, je n’ai pas besoin de défendre mon bilan. L’évidence saute aux yeux des honnêtes gens. On est obligé de reconnaître que j’ai sauvé la radio à deux reprises au moins, d’abord en 2006 et à nouveau en 2016. Pour l’avenir, la seule inquiétude que l’on puisse avoir vient justement des conséquences néfastes de la conjuration. En troublant les auditeurs, mes indignes successeurs (qui ne le resteront peut-être pas si la Justice annule l’assemblée générale du 1er juillet 2017 à la suite des recours qui ne manqueront pas d’être déposés) risquent de tarir les recettes. Songez que les auditeurs ont reçu ces jours-ci une lettre signée par « Henry de Lesquen, président de Radio Courtoisie » juste après avoir entendu à l’antenne que je ne l’étais plus ! Il est à craindre qu’à la suite de mon éviction la radio ne souffre d’un déficit d’incarnation qui ne sera pas de nature à améliorer le rendement des appels de fonds.

Si les conjurés avaient eu en tête l’intérêt de Radio Courtoisie et s’ils avaient pensé sincèrement qu’elle était en difficulté, ils auraient renoncé à leurs manigances, car la dernière chose à faire aurait été de remplacer dans la tempête le capitaine qui avait tenu la barre sans désemparer depuis 10 ans…. Ils auraient répondu à mon appel à l’unité, à la loyauté, à l’autorité et à la compétence.

J’ai terminé ma déclaration du 3 juillet par ce cri du coeur : « Vive Radio Courtoisie ! » Il faut que celle-ci continue, grâce à vous, à remplir sa mission sacrée au service de la France. Je vous remercie de tout ce que vous avez fait pour la radio et de tout ce que vous continuerez à faire. Notre patrie a besoin de vous.

Recevez mes salutations les plus cordiales.

 

 

 

Henry de Lesquen

Gagnants et perdants du Grand Débat – Par Henry de Lesquen

Communiqué d’Henry de Lesquen du 5/4/2017

 

Qui sont les gagnants et les perdants du débat d’hier soir ? Voici mon classement.

 

1. Mélenchon. Meilleur orateur, meilleure répartie, mais inconsistant.
2. Fillon. Clair et fort dans sa conclusion.
3. Dupont-Aignan. Incisif et pertinent.
4. Malika Le Pen. Pas à la hauteur.
5. Asselineau. Cosmopolite et monomaniaque.
6. Hamon. Il s’est fait dominer par Mélenchon. Il est perdu.
7. Macron. Grandiloquent et ridicule, absent et inexistant, il a coulé.
8. Cheminade. Sans commentaire.
9. Arthaud. Elle a démontré que la gauche était une maladie mentale.
10. Poutou. Ordure cosmopolite confirmée.
11. Lassalle. Il a besoin de nous. Nous n’avons pas besoin de lui.

 

J’ajoute que Ruth Elkrief était insupportable. BFM, la station de Drahi, est la voix privilégiée de l’oligarchie cosmopolite et fait une propagande éhontée pour Macron.

 

Henry de Lesquen 

Président du Parti national-libéral

Dictionnaire du lesquenisme

Art dégénéré. L’art dégénéré substitue le laid au beau.

 

Cosmopolitisme. Le cosmopolitisme est l’idéologie portée par la superclasse mondiale et imposée aux peuples du monde. Le cosmopolitisme fait système. Immigration, libre-échange, réchauffisme, non-art dégénéré, théorie du genre… en sont des manifestations. Le cosmopolitisme met fin à la fois aux frontières physiques de la nation (mondialisme) et à ses frontières morales que sont les traditions.

 

Cosmopolite. Le mot « cosmopolite », qui signifie « citoyen du monde » (étant formé des deux mots grecs cosmos et politês), est en lui-même une subreption, car toute cité implique un dedans et un dehors, une relation d’inclusion-exclusion : le monde ne saurait être une cité. Le soi-disant « cosmopolite » ne peut être citoyen du monde, il n’est citoyen de nulle part, et il ne se réclame du monde que pour nier ses devoirs envers la cité.

 

Français de papier. Un Français de papier est un faux français. Il s’agit en réalité d’un immigré inassimilé détenant la nationalité française.

Synonyme : immigré inassimilé.

 

Français de sang. Le Français de sang est le vrai français. Il détient la nationalité française par le jus sanguinis (droit du sang).

Syonyme : Français de souche.

 

Lyssenkisme. Son nom fait référence à Trofim Lyssenko, connu pour sa prédisposition à donner priorité à la conformité politique sur la vérité scientifique. Le lyssenkisme est une désinformation en matière scientifique ou historique, avec des méthodes et arguments idéologiques.

Synonyme : désinformation scientifique.

 

Loi d’hétérogénéité-violence. La loi d’hétérogénéité-violence est une loi sociale qui implique que plus une société est hétérogène (génétiquement, culturellement, racialement), plus elle est violente. Les sociétés multiculturelles sont multiconflictuelles.

 

National-libéralisme. Le national-libéralisme affirme qu’aujourd’hui l’idéal de la nation et l’exigence de la liberté sont inséparables. Il n’y a pas de liberté sans enracinement. Henry de Lesquen résume le national-libéralisme par la devise « Brûler le code du travail et virer les immigrés« .

Synonyme : libéralisme-national.

 

Non-art dégénéré. Le non-art dégénéré remplace le beau par le discours.

 

Racaille cosmopolite. Les racailles cosmopolites pullulent sur les réseaux sociaux. Le ricanement est l’arme des racailles cosmopolites pour désacraliser la patrie et pour dénigrer les valeurs contraires à l’idéologie cosmopolite.

Synonymes : ordure cosmopolite, demeuré cosmopolite, dégénéré cosmopolite.

 

Racisme positif. Le racisme positif, c’est la conscience de race. Il implique la volonté de préservation des peuples du monde. L’humanité est divisée en 5 races (congoïde, caucasoïde, mongoloïde, australoïde, capoïde). Le racisme positif se fonde sur les vérités de la science.

Synonymes : racisme républicain, racisme sans haine.

 

Racisme négatif. Le racisme négatif, c’est la haine raciale. La haine raciale, comme les autres formes de haine sociale, peut aboutir à des horreurs. Elles doivent donc être maîtrisées.

 

Réémigration. La réémigration est le départ des populations immigrées qui ne sont pas ou qui ne peuvent pas s’assimiler à la culture française. Cela concerne des millions d’individus installés en France.

 

Prosélytude. La prosélytude définit l’attitude de ceux qui, sans être juifs, font preuve d’une complaisance infinie à l’égard des principes du judaïsme talmudique ou attribuent sans restriction toutes sortes de mérites ou de supériorités aux Juifs en général.

 

Superclasse mondiale. La superclasse mondiale est un réseau mondial de personnes qui entretiennent des relations régulières, professionnelles, mondaines ou amicales, et qui partagent une vue du monde originale. Elle est si nombreuse qu’il ne faudrait surtout pas la réduire à une courte liste de personnalités emblématiques dont le nom vient à l’esprit quand on la nomme : par exemple, pour la France, Ernest Seillière, Laurence Parisot, Alain Minc, Jean-Marie Messier, Pierre Bergé, Bernard Kouchner, Jean-Claude Trichet, Pascal Lamy, Dominique Strauss-Kahn, etc. Ce sont les entreprises multinationales d’une part, les organisations internationales d’autre part, qui en constituent le vivier.

Radio Courtoisie recrute !

LE BULLETIN DE RÉINFORMATION DE RADIO COURTOISIE RECRUTE !

 

Le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie compte une dizaine d’équipes : chacune d’entre elles présente un bulletin toutes les deux semaines. Pour continuer à assurer chaque jour une réinformation de qualité, nous comptons sur des bénévoles, fiables et épris de vérité. Leur mission ? Dénicher et décrypter l’information, rédiger des textes accessibles, lire ces textes au micro au petit matin dans le studio de Radio Courtoisie, à Paris (16e).

Les volontaires de tous âges peuvent s’adresser à Carl Hubert, patron du bulletin de réinformation. Son courriel est hubertcarl@gmail.com. Vous pouvez aussi écrire ou téléphoner au secrétariat de Radio Courtoisie (61 boulevard Murat, 75016 Paris, 01 46 51 00 85), qui transmettra.

10 conseils à François Fillon, par Henry de Lesquen

Voici 10 conseils stratégiques à l’intention de François Fillon. Plus une conclusion.

 

1. François Fillon n’aurait pas dû présenter des excuses. Il ne doit pas recommencer.

 

2. François Fillon devrait refuser de se rendre à la convocation du juge d’instruction.

 

3. François Fillon doit faire du Trump, attaquer sans hésitation ni faiblesse les juges et les journalistes qui le harcèlent.

 

4. François Fillon ne devrait plus sacrifier aux conciliabules avec les élus ni tendre la main aux félons. Il doit s’adresser aux Français.

 

5. François Fillon doit désigner Emmanuel Macron comme son adversaire principal.

 

6. François Fillon ne doit en aucun cas envisager de voter pour Macron, même si celui-ci était opposé à Marine Le Pen au second tour.

 

7. François Fillon doit répéter que Macron est responsable du bilan économique désastreux de Hollande, qu’il a servi pendant 5 ans.

 

8. François Fillon doit répéter sans relâche : « Macron, c’est Hollande ; Macron, c’est la gauche. »

 

9. François Fillon doit faire du Buisson et droitiser sa campagne, au moins jusqu’au premier tour.

 

10. François Fillon doit dénoncer Marine Le Pen comme une candidate de gauche, dont le programme est socialiste et les idées collectivistes.

 

Conclusion. Pour gagner, François Fillon doit répondre aux attentes du peuple de droite qui s’est rassemblé au Trocadéro le 5 mars 2017.

 

Henry de Lesquen

Président du Parti national-libéral

Trump : vers une sortie de l’ONU ?

Le 26 décembre 2016, Donald Trump annonçait via son compte Twitter que « les Nations Unies ont un énorme potentiel, mais à l’heure actuelle, c’est seulement un groupe où les gens se réunissent, discutent, et passent un bon moment. C’est déplorable ! » (1)

Le site internet ISideWith qui propose des questionnaires afin d’aider les électeurs américains à choisir leur candidat, utilise d’ailleurs cette source pour annoncer que Trump pense que les États-Unis devraient sortir de l’Organisation des Nations Unies. En effet, dans la catégorie des questions de politique étrangère, et, à la question « Est-ce que les États-Unis doivent rester dans l’Organisation des Nations Unies ? », le site indique que le Président des États-Unis répond par la négative. (2)

Le 23 décembre 2016, Trump a également déclaré que « pour les Nations Unies, les choses vont changer après le 20 janvier 2017 (3) », date de la passation de pouvoir avec Barack Obama.

Aussi, un article du Telegraph datant du 19 janvier 2017 rapporte des propos entendus au siège des Nations Unies de New York peu avant l’inauguration de la Présidence Trump. L’ambiance au siège des Nations Unies y est décrite comme « incertaine » et « méfiante ». Une source va même plus loin et parle de « désespoir ». (4)

Il est important de noter que selon le programme du Congrès américain, une proposition a été faite en ce sens le 3 janvier 2017 par un membre républicain du Congrès, Mike D. Rogers. (5) C’est à cette date que les nouveaux membres du Congrès sont entrés en fonction. Il semble donc que Mike D. Rogers a déposé le projet de loi dès son entrée en fonction. Le projet est déjà soutenu par six autres élus républicains. (6) Le texte complet du projet de loi propose une sortie totale de l’organisation des nations unies et fait parti d’un acte législatif plus large nommé l’Acte de Restauration de la Souveraineté Américaine de 2017. La loi propose une sortie de tous les organes de l’ONU et donc si le projet de loi était totalement accepté, alors les États-Unis sortiraient aussi, par exemple, de l’Organisation Mondiale de la Santé. Le texte complet est disponible ici.

Afin de passer une loi aux États-Unis, plusieurs étapes sont nécessaires. Tout d’abord, le projet de loi doit être proposé et, de préférence, soutenu par d’autres membres, cette étape est accomplie. Ensuite, le projet de loi doit passer par la Commission en charge de telles questions. Ici, ce sera la Commission des Affaires Étrangères. Il y a différentes étapes au sein de la Commission: le gouvernement demande un débat sur la légitimité d’un tel projet de loi, des débats peuvent être tenus sur le projet de loi à cette période et le projet de loi est voté une première fois au sein de la Commission. Selon les résultats du débat et du vote, des révisions peuvent être apportées au projet de loi.

Si le projet de loi passe ces étapes, alors il est mis au programme du Sénat et de la Chambre des Représentants. Le projet de loi est alors débattu par ces deux institutions, et puis le vote a lieu. Pour que la loi passe il faut une majorité de votes en faveur de la loi. Si le projet de loi est voté par les deux institutions législatives, alors le Président doit signer le projet de loi qui fait alors force de loi. Le processus législatif des États-Unis peut être retrouvé ici.

Il est aussi important de noter que, suite aux dernières élections de novembre 2016, les républicains sont en majorité à la Chambre des Représentants et au Sénat. (7 et 8)

Dans ses discours, le Président Donald Trump s’est toujours déclaré pour un retour de l’indépendance et de la souveraineté des États-Unis. Trump s’est également déclaré favori pour un retrait plus ou moins important des affaires des autres pays, afin que les États-Unis puissent se concentrer sur leurs problèmes de politique intérieure. Il semblerait alors que Trump pourrait soutenir un tel projet de loi.

Il en va de même pour le Vice-Président des États-Unis, Mike Pence, qui a voté à plusieurs reprises en faveur de lois qui amènerait les États-Unis à moins d’implications au sein de l’Organisation des Nations Unies. (9)

Il est donc raisonnable de penser qu’ils soutiendront ce projet de loi tous les deux. Il est aussi possible que ce projet de loi soit utilisé pour montrer de quoi les États-Unis peuvent être capable, ce qui donnerait au Président des États-Unis plus de poids dans de potentielles négociations quant à une possible réforme des Nations Unies. Rappelons que les États-Unis ont un poids dans les Nations-Unis, avec notamment un siège permanent au Conseil de Sécurité, et surtout en étant les premiers donateurs pour le fonctionnement de l’organisation, contribuant à 22% au budget total des Nations Unies, ce qui est plus que les 175 pays donnant le moins aux Nations Unies combinés. (10 et 11)

Affaire à suivre donc, pour cela il faudra être attentif aux déclarations du Président et du Vice-Président quant à ce projet de loi. Il faudra aussi suivre la route de ce projet de loi au sein de la Commission des Affaires Étrangères ainsi que ses débats potentiels au Sénat et à la Chambre des Représentants, et enfin le vote final. Le Comité MFGA s’occupera notamment de publier des rapports sur l’avancée du projet de loi.

 

Elias Jonasson

 

Sources:

1.https://twitter.com/realDonaldTrump/status/813500123053490176
2. https://www.isidewith.com/candidate-guide/donald-trump/foreign-policy/united-nations
3.https://twitter.com/realdonaldtrump/status/812390964740427776
4. http://www.telegraph.co.uk/news/2017/01/19/donald-trump-united-nations-fight-waiting-happen/
5. https://www.congress.gov/bill/115th-congress/house-bill/193
6. https://www.congress.gov/bill/115th-congress/house-bill/193/cosponsors
7. https://en.wikipedia.org/wiki/United_States_House_of_Representatives
8. https://en.wikipedia.org/wiki/United_States_Senate
9. http://www.ontheissues.org/Governor/Mike_Pence_Foreign_Policy.htm
10. https://factly.in/united-nations-budget-contributions-by-member-countries/
11. http://www.foxnews.com/opinion/2015/06/16/america-pay-way-too-much-for-united-nations.html

Bernard Antony, histrion antiraciste d’extrême droite au service du système.

Voici 10 remarques sur un histrion antiraciste d’extrême droite et l’association bidon qu’il a créée. Plus une conclusion.

 

1. Bernard Antony, frénétique d’extrême droite, s’est déconsidéré par ses pitreries.

 

2. Bernard Antony, frénétique d’extrême droite, est mal placé pour donner des leçons de modération.

Bernard Antony est théocrate et violent. Il refuse la liberté, la république et la démocratie.

 

3. Bernard Antony bafouille des élucubrations calomnieuses pour relayer les attaques de la LICRA contre la vraie droite.

 

4. Bernard Antony s’aplatit devant la LICRA dans le vain espoir de passer pour un modéré.

 

5. Bernard Antony a fait de l’AGRIF, association antiraciste, un supplétif de la LICRA dans son action antifrançaise.

 

6. L’AGRIF cautionne par son existence même la législation scélérate qui détruit la France.

 

7. A quoi sert l’AGRIF ? A soumettre la vraie droite à la doxa antiraciste qui tue la France.

 

8. L’AGRIF est une escroquerie puisque l’antiracisme dont elle se réclame est une machine de guerre contre l’identité française.

 

9. A l’ère des attentats islamistes et du grand remplacement, la dénonciation du racisme est un crime de collaboration.

 

10. L’AGRIF perdant tous les procès, malgré le talent de son avocat, Antony la dissoudrait s’il n’œuvrait pour la LICRA et contre la France.

 

Conclusion. J’ai péché par naïveté au sujet de Bernard Antony. C’est un suppôt de la LICRA, donc un ennemi de la France.

 

Post-scriptum : le ridicule Bernard Antony est un hybride de Coluche et de Mussolini, le talent en moins.

 

Henry de Lesquen

Président du Parti national-libéral

Les valeurs républicaines contre le cosmopolitisme, par Henry de Lesquen

Voici la vérité sur les valeurs républicaines. 10 illustrations, 3 compléments, une conclusion.

 

1. Ordre. Adolphe Thiers justifie la répression impitoyable de la Commune de Paris.

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2. Patrie. Paul Bert proclame que l’on n’est pas républicain si l’on renie la patrie.

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3. Responsabilité. Waldeck-Rousseau demande que les récidivistes soient déportés.

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4. Civilisation. Jules Ferry affirme la grandeur et la supériorité de notre civilisation.

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5. Devoir. Paul Doumer condamne l’immoralité du cosmopolitisme.

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6. Héroïsme. Raymond Poincaré célèbre le courage de nos soldats, prêts à mourir pour la patrie.

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7. Ancêtres. Clemenceau rappelle aux Français qu’ils sont le produit d’une lignée.

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8. Race. Herriot dénonce les dangers d’une immigration qui porte atteinte à la substance charnelle de notre peuple.

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9. Sécurité. Dormoy s’alarme des dangers de l’immigration pour la sécurité des Français.

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10. Identité. De Gaulle rappelle cette évidence : la France est un pays de race blanche.

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C1. Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, article 3. “Le principe de toute souveraineté réside essentiellement dans la nation. »

 

C2. Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, article 17. “La propriété est un droit inviolable et sacré…”

 

C3. La Marseillaise : “Allons, enfants de la patrie, le jour de gloire est arrivé !… Qu’un sang impur abreuve nos sillons !”

 

Conclusion. Le cosmopolitisme est la négation des valeurs républicaines. Nous seuls, nationaux-libéraux, avons le droit de nous en réclamer.

 

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Henry de Lesquen

Président du Parti national-libéral (PNL)

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