Ce que la science nous dit des races humaines

Voici un vade-mecum en 10 points sur les races humaines.
1. La division de l’espèce homo sapiens en races est un fait d’observation élémentaire que la science confirme et précise.
2. Il y a 5 races : caucasoïde, mongoloïde, congoïde, capoïde, australoïde (termes de Carleton Coon).
3. La couleur de la peau est secondaire. Il y a 3 races noires : congoïde, capoïde, australoïde. Les Indiens sont des caucasoïdes.
4. Les gènes commandent le mental autant que le physique. C’est vrai en particulier de ceux qui déterminent la race.
5. La race, composante du fonds génétique, est à la base de l’identité d’un peuple.
6. Les races ne sont pas égales, car l’égalité n’est pas dans la nature.
En dehors des vrais jumeaux (monozygotes), deux individus ne sont jamais génétiquement identiques. De même, les gènes qui déterminent la race ont une influence physique et mentale qui varie selon la race.
L’égalité des citoyens devant la loi, quelle que soit leur origine, proclamée par la constitution, n’est en rien une égalité de nature. On peut en dire autant de l’égalité morale entre les hommes affirmée par certaines religions ou philosophies.
7. L’individu ne se réduit pas à sa race. Il est d’abord lui-même.
8. Contre l’évidence, le lyssenkisme, instrument du cosmopolitisme, nie les différences de race et de sexe.
9. « La France est un pays de race blanche » (de Gaulle) : de race caucasoïde.
Le général de Gaulle a déclaré en 1959 :
« C’est très bien qu’il y ait des Français jaunes, des Français noirs, des Français bruns. Ils montrent que la France est ouverte à toutes les races et qu’elle a une vocation universelle. Mais à condition qu’ils restent une petite minorité. Sinon, la France ne serait plus la France. Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne. » (Cité dans Alain Peyrefitte, C’était de Gaulle, tome 1, éditions de Fallois/Fayard, 1994, page 52.)
10. Puisque nous sommes un peuple européen de race blanche, comme l’a rappelé le général de Gaulle, la congoïdisation de la France, explosion de la population de race congoïde, est susceptible de porter encore plus gravement atteinte à notre identité que l’islamisation, car, si l’on peut changer de religion, on ne peut pas perdre sa race.