Sagesse des nationaux-libéraux

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Henry de Lesquen
et le Parti National-Libéral

Sagesse des nationaux-libéraux

Sept fois sept apophtegmes,
suivis de leurs commentaires et de sept annexes

 

Ce compendium de la sagesse de la vraie droite
a été réalisé par le comité doctrinal du Parti National-Libéral (PNL),
présidé par Henry de Lesquen
et composé, aux côtés de celui-ci, de :
Christophe Beaumont
Frédéric Bourbon
Patrick Catélon
Laurent Dulout
Richard Guimaut
Auguste Lorrain
Thierry Marin
Maurice Seclin
Pierre de Tiremont
Maxence de Touraine

Le Parti National-Libéral (PNL) est présidé par Henry de Lesquen, qui l’a fondé en 2016 pour combattre la gauche cosmopolite ou collectiviste en formulant le socle doctrinal de la vraie droite et en développant le programme politique du redressement de la France. Républicain, dans tous les sens du terme, ainsi que démocrate, le PNL appartient à la droite modérée, tout en proclamant : « Pas d’ennemi à droite ! »

Avant-propos

La vraie droite est libérale, puisqu’elle est opposée au socialisme ; elle est nationale, puisqu’elle est opposée au cosmopolitisme. Elle est nationale-libérale. Il était temps de proclamer fièrement ses principes, sans la moindre concession à la gauche, en énonçant sans ambiguïté les vérités qui s’imposent à la raison et les valeurs que nous avons reçues en héritage. Tel est l’objet de ce compendium doctrinal.

Avertissement

Ce compendium doctrinal a trois niveaux de lecture. On peut se contenter, dans un premier temps, de ne lire que les quarante-neuf apophtegmes, qui tiennent par définition en une seule phrase et qui sont écrits en plus gros caractères, sans les commentaires plus ou moins longs qui les explicitent et qui les suivent immédiatement après retour à la ligne, écrits pour leur part en plus petits caractères. On peut aussi les lire avec leurs commentaires, mais sans les annexes. On peut enfin lire la totalité du compendium, y compris les sept annexes, sachant que chacune d’entre elles se rapporte à un commentaire particulier, qu’elle complète.

Ce compendium doctrinal des nationaux-libéraux a été publié pour la première fois le 18 février 2022 sur le site https://lesquen.fr.
Nouvelle édition complétée le 28 avril 2025.

 

I. De l’identité

1. Ce n’est pas l’opinion qui fait l’identité, ce sont les ancêtres.

Ils se sont reproduits dans leur descendance.

2. Nous sommes nos gènes, ou plus largement notre ADN (acide désoxyribonucléique), patrimoine héréditaire reçu pour moitié de notre père et de notre mère.

L’identité est ce en quoi un être demeure identique à lui-même au cours du temps. Notre identité individuelle s’est constituée à l’instant fatidique de la conception.
La comparaison entre les vrais jumeaux ou jumeaux monozygotes, nés d’un même ovule et qui ont donc le même patrimoine génétique (ou presque : leur génome ne diverge en moyenne que par cinq mutations), avec les faux jumeaux de même sexe, qui n’ont en moyenne que 50% de gènes en commun, est éloquente : elle suffit déjà à démontrer la puissance de l’hérédité, qui détermine tout autant le moral que le physique.

3. L’homme est par nature un être de culture.

L’éducation que l’enfant reçoit dans sa famille est un dressage qui met de l’ordre dans le chaos des instincts concurrents en les assujettissant à la volonté et forme sa personnalité.

4. Les sociétés humaines sont des systèmes bioculturels.

Leur identité collective est assise sur le fonds génétique – la « race » au sens large – des populations qui les composent.

5. La nation est une communauté de destin historique fondée sur les liens du sang et constituée autour d’une ethnie prépondérante sur un territoire continu.

La race est une catégorie biologique, l’ethnie est une catégorie culturelle. Horresco referens, le mot « ethnie » a justement été créé par Georges Vacher de Lapouge pour sortir de la confusion entre biologie et culture, en cantonnant le mot « race » dans une acception purement biologique.

6. La nation est formée des vivants, des morts et de ceux qui vont naître.

C’est la chaîne des générations qui constitue l’identité de la nation, laquelle lui donne vocation à la souveraineté.

7. Il n’y a pas de nation sans préférence nationale

…laquelle légitime l’exclusion des étrangers quand celle-ci est utile aux nationaux.

II. De la tradition

1. La nation française est née au XIe siècle à l’issue d’un synécisme celto-romano-germanique autour de l’ethnie française sur le territoire du royaume capétien.

Celtes, Romains et Germains ont fait la France. Gaulois ou Celtes, les termes étaient équivalents. Les Francs, qui ont donné leur nom à notre pays, étaient des Germains, au même titre que les Burgondes, qui ont donné leur nom à la Bourgogne, ou que les Wisigoths, qui ont longtemps tenu le Sud-Ouest de la France actuelle avant de se replier en Espagne.
L’ethnie française, de langue d’oïl, forme ancienne du français, a achevé de se former au Xe siècle.

Le royaume des Francs, regnum Francorum, fondé par Clovis, qui s’est converti au christianisme en 496, n’était pas encore une nation avant l’avènement d’Hugues Capet en 987. Les rois mérovingiens et carolingiens étaient des Francs, donc des Germains, et parlaient le francique, langue germanique voisine du néerlandais d’aujourd’hui. L’empire de Charlemagne avait pour capitale Aix-la-Chapelle (Aachen), dans l’Allemagne actuelle.

2. La nation française est d’origine indo-européenne, de race caucasoïde, de civilisation occidentale et de religion chrétienne.

Le général Charles de Gaulle l’avait dit avant nous : « Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne. »

Les Celtes, les Romains et les Germains appartenaient tous à la famille des peuples indo-européens, descendants du peuple indo-européen indivis qui vivait en -4000 dans le bassin de la moyenne Volga avant qu’il se lançât à la conquête du monde.

La race caucasoïde, ou « race blanche », est l’une des cinq races de l’espèce homo sapiens, les quatre autres étant les races mongoloïde, congoïde, capoïde et australoïde.

L’Occident est l’une des six civilisations du monde contemporain, les cinq autres étant l’Orient, le monde russe, le monde indien, le monde chinois et l’Afrique noire.

La France chrétienne n’est pas seulement catholique, elle est aussi protestante. Jean Calvin fut un grand Français et le calvinisme fait partie de notre identité nationale au même titre que le catholicisme. On peut en dire presque autant du luthéranisme de l’Alsace, bien qu’il soit d’origine allemande. De plus, la tradition catholique de la France est gallicane et janséniste. L’ultramontanisme, qui vient d’Italie comme son nom l’indique, ne s’est imposé en France qu’à partir du premier concile du Vatican, en 1870, donc très tardivement. Le cléricalisme et les prétentions théocratiques qui en découlaient ont été exploités par la franc-maçonnerie dans son combat contre le catholicisme et n’ont pas peu contribué au divorce entre l’Église et la société française.

3. Nous sommes fidèles à la tradition indo-européenne, qui a façonné la civilisation occidentale avec le christianisme.

Elle implique la hiérarchie des fonctions sociales : la première est la fonction souveraine, la deuxième est la fonction guerrière, la troisième est la fonction productive et reproductive. C’est pourquoi les nationaux-libéraux méprisent le matérialisme de la société marchande, qui donne la primauté à la troisième fonction, et admirent la grandeur de la France éternelle, qui s’est particulièrement illustrée dans le domaine des deux premières fonctions.

Pour aller plus loin, voir le « Vade-mecum sur les Indo-Européens, autrement dit les Aryas » en annexe 1.

4. Contrairement à ce que prétend la gauche, la justice ne se confond nullement avec l’égalité.

La justice réside dans le respect intransigeant de règles de juste conduite issues de la tradition, comme le droit de propriété et la liberté d’entreprise, d’où résultent nécessairement de grandes inégalités parfaitement légitimes. La prétendue « justice sociale » est donc le contraire de la justice.

5. La colonisation française fut une grande œuvre civilisatrice dont nous pouvons être fiers et pour laquelle les peuples colonisés ont toutes les raisons de nous être reconnaissants.

La France a tout apporté aux pays qu’elle a colonisés, qui étaient tous arriérés et souvent même primitifs avant son arrivée. Dans son fameux discours de 1885, Jules Ferry a réclamé pour les « races supérieures » le droit de civiliser les « races inférieures », parce que, disait-il, elles en avaient le devoir.

La France a mis fin aux guerres et aux famines, elle a introduit le progrès technique et matériel avec l’électricité, elle a créé toutes sortes d’équipements publics. Elle a soigné la population. Elle l’a alphabétisée et instruite, en lui donnant accès à la haute culture de l’Occident. Elle a ouvert la voie à l’évangélisation des animistes.

Quand ils ont reçu leur indépendance, les territoires colonisés par la France en Afrique noire comptaient 2.000 dispensaires, 600 maternités, 40 hôpitaux, 18.000 km de voies ferrées, 215.000 km de pistes principales, 50.000 km de routes bitumées, 63 ports, 196 aérodromes, 16.000 écoles primaires, 350 collèges et lycées. Tout cela, c’est la France qui le leur avait apporté.

Au moment de l’indépendance, la France laissa à l’Algérie 70.000 km de routes, 4.300 km de voies ferrées, 4 ports équipés aux normes internationales, une douzaine d’aérodromes principaux, des centaines d’ouvrages d’art (ponts, tunnels, viaducs, barrages, etc.), des milliers de bâtiments administratifs, de casernes, d’immeubles ; 31 centrales hydroélectriques ou thermiques ; une centaine d’industries importantes dans les secteurs de la construction, de la métallurgie, de la cimenterie, etc. ; des milliers d’écoles, d’instituts de formation, de lycées, d’universités, d’hôpitaux, de maternités, de dispensaires, de centres de santé, etc. Sans parler d’une agriculture largement exportatrice et des hydrocarbures du Sahara (pétrole et gaz naturel) que ses géologues et prospecteurs avaient découverts. L’Algérie avait moins de 3 millions d’habitants lors de la conquête française en 1830, elle en avait plus de 12 millions, soit quatre fois plus, en 1962, lors des accords d’Évian.

Pour aller plus loin, voir « Les bienfaits de la colonisation française » en annexe 2.

6. Les treize territoires extérieurs de la France, appelés collectivités d’outre-mer – sauf l’île inhabitée de Clipperton et les Terres australes –, appartiennent à la nation française, mais ils n’en font pas partie.

Ce sont la Martinique, la Guadeloupe, Saint-Barthélémy, Saint-Martin (île partagée avec les Pays-Bas), la Guyane, Saint-Pierre et Miquelon, Clipperton, la Réunion, Mayotte, la Nouvelle-Calédonie, la Polynésie française (Tahiti et dépendances), Wallis et Futuna, enfin les Terres australes. Leurs habitants ne sont pas vraiment français, sauf exception ; ce sont des Français de papier.

Il faut y ajouter un quatorzième, la Corse, qui fait géographiquement, historiquement et culturellement partie de l’Italie et non de la France. Il n’y a d’ailleurs pas de « langue corse » ; on parle en Corse plusieurs dialectes de la langue italienne.

Les partisans de l’Algérie française clamaient autrefois : « L’Algérie, c’est la France ! » Lourde erreur. L’Algérie était un territoire extérieur avant l’indépendance de 1962 : elle était à la France, elle n’était pas la France. De même, en 2022, soixante ans après, la Martinique et les autres territoires extérieurs sont à la France, ils ne sont pas la France. L’omission de la modeste préposition « à » crée une grave confusion.

L’absence de continuité territoriale est une raison suffisante pour qu’un territoire ne fasse pas partie de la France proprement dite ; sauf, bien sûr, pour les petites îles qui sont voisines de nos côtes. Dans le cas de l’Algérie, les habitants étaient de surcroît d’une autre religion et d’une autre civilisation ; dans le cas des territoires extérieurs que la France détient actuellement, ils sont en général de race différente, sauf pour la Corse et Saint-Pierre-et-Miquelon, ainsi qu’en partie pour la Nouvelle-Calédonie.

7. L’Europe n’est qu’une expression géographique.

Il n’y a ni civilisation européenne ni race européenne ni ethnie européenne ni peuple européen. Il y a une civilisation occidentale, dont ne font partie ni la Russie ni l’Ukraine ni la majorité des pays des Balkans, une race caucasoïde, qui inclut beaucoup de peuples non européens, une ethnie française, un peuple français.

Nous dirons, pour paraphraser Joseph de Maistre : « J’ai déjà rencontré un Français, un Italien, un Russe… mais l’“Européen”, s’il existe, c’est à mon insu. »

Pour aller plus loin, voir « Les dix raisons du mythe européen » en annexe 3.

III. De la race

1. La race est un fait d’observation élémentaire que la science confirme et précise.

Au sens strict, la race est, par définition, la subdivision de l’espèce dans la taxinomie linnéenne (élaborée en premier lieu par Carl von Linné) ; on parle aussi de variété ou de sous-espèce. L’espèce homo sapiens n’est pas divisée en trois races (blancs, jaunes, noirs), mais en cinq : caucasoïdes (ou « blancs »), mongoloïdes (ou « jaunes »), congoïdes, capoïdes et australoïdes, étant observé qu’il y a donc trois races de « noirs », parfaitement distinctes.

Pour aller plus loin, voir la « Dissertation sur la race » en annexe 4.

2. L’égalité n’est pas dans la nature, ni entre les individus ni entre les races ni entre les sexes.

Étant d’ordre juridique et politique, l’égalité civique, ou égalité des citoyens devant la loi au sein de la communauté nationale, ne présuppose aucune sorte d’égalité biologique. Elle implique une inégalité de principe entre citoyens et étrangers. Elle n’interdit pas de reconnaître les diverses inégalités entre les citoyens qui résultent de leur valeur morale, de leurs aptitudes physiques ou intellectuelles et de leur degré de francité, autrement dit de leurs origines.

3. La question raciale est aujourd’hui centrale.

La couleur de la peau n’a pas d’importance, mais la race en a beaucoup.

Voir l’analyse des caractéristiques raciales en annexe 1.

4. Il existe un plan de promotion des congoïdes et du métissage (PPCM).

C’est ce que révèlent l’ampleur et le caractère à la fois systématique et stéréotypé de ses manifestations dans la publicité et le cinéma. Si l’antiracisme est la toile de fond, le phénomène n’a visiblement rien de spontané : s’il l’était, il aurait débuté plus tôt, il ne serait pas aussi envahissant et obsessionnel, et ses formes seraient bien plus variées ; il ne serait notamment pas concentré sur la seule race noire (on devine la volonté de faire passer pour supérieure une race qui était tenue pour inférieure). L’orientation idéologique de cette propagande est d’autant plus frappante qu’elle paraît contraire à l’intérêt commercial des marques dont on fait la promotion. Leurs clients, en grande majorité caucasoïdes, sont a priori peu enclins à se reconnaître personnellement dans une autre race.

Il va de soi que ce plan devait rester secret. Il ne pouvait être rendu public. C’est donc par définition un complot. Il est tout aussi ridicule de nier qu’il existe des complots que d’en voir partout.

Or, comme c’est dans la publicité et le cinéma, milieux où l’élément israélite est prépondérant, que s’exerce essentiellement le PPCM, tout porte à croire que ce complot a été ourdi par une organisation juive. Celles-ci sont nombreuses, mais le premier suspect est la plus importante, le Congrès juif mondial (CJM), dont le siège est à New York et dont le président est Ronald Lauder depuis 2007. Il est au demeurant fort probable que le CJM, si c’est lui, ait coordonné son action avec d’autres entités juives, comme les B’nai B’rith, pour répandre ses mots d’ordre.

En tout cas, quel que soit le coupable, le but du complot est clair : il vise à saper l’identité des nations occidentales en les transformant en sociétés multiraciales et multicommunautaires, en sorte de légitimer le communautarisme juif.

5. Dans un pays libre, il ne saurait y avoir de délit d’opinion.

Le racisme est une opinion. Les racistes doivent pouvoir s’exprimer librement, tout autant que les marxistes et les cosmopolites. De même, on doit être libre d’affirmer l’inégalité des sexes (« sexisme ») ou de condamner l’homosexualité (« homophobie ») et la transsexualité (« transphobie »).

6. Si la haine raciale, comme toute forme de haine sociale, nous est étrangère, nous nous réclamons en revanche d’un racisme positif et républicain, racisme dans le bon sens du terme, sans haine et sans reproche, celui de Jules Ferry ou de Charles de Gaulle, et qui est la conscience de race.

7. La liberté de discrimination est le premier des droits de l’homme, étant plus nécessaire encore que la liberté d’opinion ou la liberté de circulation.

La discrimination est d’abord « l’action de discerner les choses en les distinguant les unes des autres avec précision » et le mot est aussi synonyme du choix qui en résulte. Ainsi, choisir, c’est discriminer. Ce n’est pas à l’État de décider à la place des individus qui choisissent et qui discriminent par là-même. L’interdiction par la loi de certaines discriminations jugées illégitimes par la puissance publique est donc tyrannique. Et cela peut aller très loin, puisque, dans la logique du métissage obligatoire évoqué par Jacques Ruffié, Albert Jacquard, puis Nicolas Sarkozy, il n’y a plus de « choix du conjoint ».

La liberté de discrimination découle en particulier du droit de propriété, qui implique dans son principe le droit d’exclure autrui discrétionnairement du bien dont on est propriétaire et de choisir au contraire tout aussi librement celui qui y sera admis.

L’homme est un animal territorial. Propriétaire ou locataire, on est libre de refuser l’entrée de son domicile à qui on veut sans avoir à répondre de ses motifs. On choisit librement ses invités. « Charbonnier est maître chez lui. » Le mot « appartement », dérivé d’un verbe italien qui signifie « séparer, mettre à part », suffirait à nous rappeler que vivre, c’est discriminer.

La discrimination prend une dimension métaphysique dans les religions du salut en général et dans le christianisme en particulier, puisque la justice divine n’accueille que les bons au paradis, tandis que les méchants sont rejetés en enfer : « Efforcez-vous d’entrer par la porte étroite » (Luc, XIII 24). Et encore : « Il y aura beaucoup d’appelés, mais peu d’élus » (Matthieu, XXII 14).

IV. De l’assimilation

1. Les Français de sang sont les Français de race caucasoïde dont la majorité des ancêtres en l’an mil étaient des sujets chrétiens du royaume de France vivant à l’intérieur des frontières actuelles de la France, ou d’une province voisine rattachée à celle-ci par la suite et qui en fait encore partie aujourd’hui.

Hormis les Français d’origine, comme les Québécois, à qui il ne manque que la nationalité pour être des Français de sang, les autres hommes sont pour la France des allogènes, quelle que soit leur nationalité, française ou étrangère, quel que soit leur lieu de naissance ou leur lieu de résidence, en France ou à l’étranger ; quel que soit aussi l’attachement qu’ils peuvent avoir pour la France, et quels que soient les services qu’ils lui ont éventuellement rendus. Le terme d’allogène n’a rien de péjoratif. Il est du reste relatif à la nation considérée : les Français de sang sont des allogènes pour les Allemands. On peut aussi parler des « allochtones », par opposition aux autochtones que sont les Français de sang.

2. Il y a trois sortes de Français selon la loi, bien que celle-ci ne marque aucune différence entre eux : les Français de sang, les Français d’adoption, allogènes assimilés, et les Français de papier, allogènes inassimilés.

Ces derniers ne sont pas de vrais Français. Les nationaux-libéraux en tirent la conséquence qu’ils doivent être déchus de la nationalité française, puis, sauf exception, réémigrés à plus ou moins long terme.

3. Pour être assimilé, un immigré, autrement dit un allogène, doit rejeter le communautarisme et se mêler aux Français de sang au lieu de rester à part avec ceux qui ont la même origine que lui.

Il faut donc qu’il parle français et qu’il ne pratique pas une religion de nature à l’exclure de la communauté nationale, telle que le judaïsme ou l’islam.

Il n’y a pas de « Français par le sang versé » : si la France doit de la reconnaissance aux hommes qui ont combattu pour elle, cela ne suffit pas pour en faire de vrais Français à défaut d’assimilation.

La France ne pourra pas préserver son identité nationale sans la réémigration des masses inassimilées et inassimilables.

4. Le grand remplacement est la conséquence de l’immigration, qui est elle-même la conséquence de l’antiracisme, lequel est, à son tour, la conséquence de la religion de la Choah : il s’ensuit que le grand remplacement est la conséquence de la religion de la Choah.

C’est le théorème du grand remplacement.

Le sacré étant l’essence de la religion, il y a bien une religion de la Choah. Celle-ci a quatre dogmes : (1) plan d’extermination, (2) six millions de morts, (3) chambres à gaz, (4) incomparabilité. La loi Gayssot du 13 juillet 1990 protège les dogmes n° 2 et n° 3 de la religion de la Choah contre l’hérésie et le blasphème. Mais les choahs, génocides ou populicides, ont hélas été très nombreux dans l’histoire. Les Juifs de l’Antiquité se sont même vantés dans l’Ancien Testament des populicides qu’ils avaient perpétrés. Le Slavocide, choah des Slaves (Russes, Ukrainiens, Biélorusses) perpétrée par les Juifs dirigeant l’URSS – et en particulier son appareil de répression – jusqu’à la mort de Staline en 1953 a fait au moins dix-huit millions de morts, trois fois plus que la choah des Juifs due aux Allemands pendant la seconde guerre mondiale. La religion de la Choah est raciste puisqu’elle met les morts et les souffrances des Juifs au dessus de celles des autres hommes. La France n’est plus un pays laïque, car la religion de la Choah fait l’objet d’un culte et d’un enseignement officiels.

5. Les Juifs sont des immigrés comme les autres, tout en étant souvent rebelles à l’assimilation en raison de leur religion, au même titre que les musulmans.

Expulsés de France en 1394, les Juifs ou Israélites n’étaient que quelques milliers en 1789. Ils ont immigré au XIXe et plus encore au XXe siècle, sans parvenir tous à s’assimiler, étant, dans ce cas – et seulement dans ce cas –, des Juifs français plutôt que des Français juifs, « Juifs à la maison, Français dans la rue », selon une expression tristement classique, tenus alors par leur choix personnel et en vertu de leur religion raciste à l’écart de la nation française pour former une communauté séparée. En outre, les Juifs, lorsqu’ils sont inassimilés, font souvent allégeance à un autre pays que la France depuis la fondation de l’État d’Israël en 1948 : pour les Juifs français, le sionisme, nationalisme juif, conduit forcément au communautarisme et au séparatisme, deux notions en réalité équivalentes.

Tels sont les termes de la question juive aujourd’hui en France. En vérité, la réponse à cette question a été donnée par Stanislas de Clermont-Tonnerre dès 1789, quand il a proposé d’émanciper les quelques Israélites qui étaient en France à l’époque, réforme indispensable qui fut accomplie deux ans plus tard : « Il faut refuser tout aux Juifs comme nation dans le sens de corps constitué et accorder tout aux Juifs comme individus. Il faut qu’ils ne fassent dans l’État ni un corps politique ni un ordre ; il faut qu’ils soient individuellement citoyens. » Mais Napoléon a fait tout le contraire lorsqu’il a institué le consistoire israélite en 1808. Sous prétexte d’organiser le culte, il a officialisé le communautarisme juif.

Il n’y a pas de « peuple juif ». Il y a une ou deux ethnies juives coagulées ou coalisées par la religion, un peuple israélien et un peuple français, dont font partie les Juifs pourvu qu’ils soient assimilés et donc qu’ils rejettent le Talmud, lequel tient les non-Juifs pour des bêtes. Il n’y a pas non plus de « communauté juive » qui puisse être reconnue au sein de la république, car celle-ci n’admet pas d’autre communauté que la communauté nationale. À cet égard, si le groupe juif peut conserver sa particularité en restant attaché à certaines de ses traditions culturelles et religieuses, encore faut-il que celles-ci ne soient pas contraires aux exigences de la civilisation occidentale ni aux principes de la république française, et qu’elles ne viennent pas entamer l’unité nationale en mettant les Juifs à part des autres Français.

6. Réinformation : il est tout à fait absurde de parler de « judéo-christianisme ».

Le judaïsme actuel, qui est celui des pharisiens dont parle l’Évangile, est une religion orientale isomorphe de l’islam.

Le judaïsme est un islam raciste. La théorie du peuple élu est intrinsèquement raciste quand elle ne signifie pas, comme le pensent les chrétiens, que cette élection d’un peuple particulier avait pour seule fin de préparer la venue du Christ et qu’elle s’est achevée avec celui-ci et dans son Évangile destiné à tous les hommes, sans acception d’origine ou de nationalité.

Le livre saint propre aux Juifs actuels, le Talmud, est d’un racisme si délirant qu’il tient les non-Juifs pour des bêtes (« Vous êtes des hommes, tandis que les non-Juifs ne sont pas des hommes »), les non-Juifs étant appelés en hébreu « Goyim » (pluriel de Goy), terme de mépris et d’exécration. Le grand-rabbin d’Israël Ovadia Yosef estimait que les non-Juifs (Goyim) n’étaient nés que pour servir les Juifs et il les comparait à des ânes (sic).

Pour la Cabale, doctrine suivie par 80% des Juifs religieux, les Juifs sont des étincelles de la Divinité (Chékinah) dispersées au milieu du fumier des non-Juifs (Goyim), c’est-à-dire que ceux-ci ne sont même plus tenus pour des bêtes, mais pour des excréments ; il est difficile de faire mieux dans la haine et le mépris.

Pour sa part, l’islam est un judaïsme universaliste, qui s’adresse à tous les hommes.

Pour aller plus loin voir « Le mythe du judéo-christianisme » en annexe 5.

7. Comme l’a enseigné Jean Bodin (1576), nous appelons république, du latin res publica, tout régime politique voué au bien commun et qui, en conséquence, défend l’identité raciale et culturelle de la cité ou de la nation, homologue moderne de la cité antique, que ce régime soit monarchique, aristocratique ou démocratique.

Lorsque l’on appelle « république », comme on le fait ordinairement, tout régime qui n’est pas une monarchie, on met dans le même sac la république romaine, la république de Venise, la « république » jacobine de 1793, la IIIe république française, l’Union des « républiques » socialistes soviétiques, la république islamique d’Iran… en oubliant contradictoirement d’y ajouter l’État français du maréchal Philippe Pétain.

Selon la définition de Bodin, que nous avons adoptée, la prétendue Ière république, n’en était pas une, puisque c’était en réalité une tyrannie jacobine qui exerçait la terreur sur le peuple français et qui a perpétré un populicide en Vendée. La IIIe république, qui en était bien une, quant à elle, n’est pas née de la révolution, mais au contraire, en 1871, de la contre-révolution que constitua l’écrasement de la Commune de Paris par Adolphe Thiers.

V. Du cosmopolitisme

1. La gauche, expression idéologique de l’utopie égalitaire, est écartelée entre deux pôles antagonistes, le collectivisme et le cosmopolitisme.

Le cosmopolitisme, qui vient du fond des âges, puisqu’il fut inventé vers -350 par un philosophe de l’Antiquité grecque, Diogène le cynique, a supplanté le marxisme, forme moderne du collectivisme, après la révolution de 1968, pour devenir l’idéologie dominante mondiale

2. Le cosmopolitisme, ou idéologie cosmopolitique, est un tout qui fait système.

Les cosmopolites les plus conséquents en sont bien conscients, qui appellent à l’« intersectionnalité des luttes ».

Le cosmopolite, qui veut détruire les frontières, rejette non seulement, au nom de l’« unité du genre humain », de la « société ouverte », de la « diversité » ou du « vivre-ensemble », et en s’appuyant sur les mythes de l’écologisme comme le « réchauffement climatique » qui serait causé par l’homme, les frontières physiques et extérieures de la nation ; mais aussi, au nom de la « lutte contre les discriminations », du « refus de l’exclusion » ou encore de l’« inclusion », les frontières morales et intérieures de la société nationale, qui séparent les valeurs des anti-valeurs : le bien du mal, le beau du laid, le vrai du faux… ainsi que l’honneur de la honte, la vertu du vice, le normal de l’anormal, la pudeur de l’obscénité, le convenable de l’inconvenant, la distinction de la vulgarité, la politesse de la grossièreté, etc.

Les principaux procédés de la propagande cosmopolite sont, d’abord, le détournement de compassion, qui fait couler les larmes de la subversion au nom d’un humanitarisme frelaté ; ensuite, le détournement des droits de l’homme, pour fabriquer de faux droits au bénéfice des ennemis de la société ou de la nation ; enfin, le sarcasme, qui vise à discréditer l’homme de droite par le ricanement en évitant de discuter de ses idées au fond, tout en désacralisant les valeurs authentiques dont il se réclame.

3. Le cosmopolitisme est mondialiste.

Il poursuit l’utopie d’un État mondial, empire où se dissoudraient toutes les nations, et sape leur souveraineté en vue de les soumettre à une « gouvernance mondiale » dans le cadre d’un « nouvel ordre mondial ». C’est pourquoi il affirme la primauté du jus gentium, « droit international », il prescrit le « droit d’ingérence » au nom des « droits de l’homme », il instaure une justice supranationale et la « compétence universelle » des tribunaux pour punir les « crimes contre l’humanité ». Il multiplie les pseudo-traités qui font peser sur les États des obligations sans réciprocité au nom des droits de l’homme. Il exige l’indépendance des banques centrales pour abaisser les gouvernements en donnant le pouvoir monétaire et financier à des techniciens sans légitimité démocratique et qui, s’ils sont indépendants de l’État, ne le sont pas des milieux d’affaires. Immigrationniste et libre-échangiste, le cosmopolitisme promeut en outre la financiarisation de l’économie dans un monde sans frontières livré à la spéculation : d’où la délocalisation des emplois, la soumission des entreprises au cosmopolitiquement correct au rebours de leur mission propre et la formation d’entreprises hors-sol dites abusivement « multinationales ».

4. Le cosmopolitisme est avant tout nihiliste.

Il subvertit les valeurs et les institutions pour faire table rase de l’identité des peuples. Il s’attaque à la nation, à la famille, à l’armée, à la justice, à la religion, à la philosophie, à la morale, à l’histoire, à la science et à l’art sous toutes ses formes. La liste des méfaits qu’il a déjà accomplis et de ceux qu’il projette d’accomplir est interminable et ne saurait donc être exhaustive :

repentance historique et culpabilisation de la nation, dénigrement de l’histoire nationale, religion de la Choah, antiracisme, apologie du métissage, féminisme, délires LGBT, promotion de la transsexualité, apologie de la pédophilie, transhumanisme, vogue de la crémation, déconstruction de la philosophie, antipsychiatrie, pédagogisme, dégradation du français, féminisation du vocabulaire, écriture inclusive, invasion de l’anglais, non-art dégénéré, danse et musique nègres, végétarisme et véganisme, décadence vestimentaire, tatouages, perçages et autres pratiques corporelles peu ragoûtantes… ;

et aussi, en projet, car le cosmopolitisme n’a pas de limites dans sa volonté de destruction des valeurs : euthanasie, aide au suicide, mères porteuses, libéralisation de la drogue, en attendant les manipulations génétiques et la création d’un « homme nouveau » selon le programme transhumaniste…

5. La révolution est l’expression de la gauche en action.

Pour les nationaux-libéraux, elle est intrinsèquement perverse, sous toutes ses formes – dès lors qu’il s’agit réellement d’une révolution, et non de la restauration des libertés traditionnelles, comme la prétendue « révolution » de 1688 en Angleterre – puisqu’elle a pour objet d’abolir les traditions et d’écraser les libertés. L’entreprise révolutionnaire conduite par les cosmopolites depuis 1968 pour démolir la nation et la civilisation a été ponctuée – aux yeux des nationaux-libéraux – d’une longue série de lois scélérates, d’actes indignes, de symboles honteux.

Pour aller plus loin, voir la « Chronique de la révolution cosmopolite » en annexe 6.

6. Les valeurs républicaines authentiques – grandeur, tradition, civilisation, nation, patrie, ancêtres, fraternité raciale, identité ; égalité civique, ordre, sécurité ; honneur, héroïsme, devoir, fidélité, liberté individuelle, responsabilité… – sont toutes contraires au cosmopolitisme.

7. Nous ne sommes plus en république.

La loi René Pleven du 1er juillet 1972, qui a proscrit la préférence nationale et créé le délit d’opinion au nom de l’antiracisme, a aboli la république pour établir l’État cosmopolite à la place.

Il a suffi d’une loi ordinaire pour changer radicalement l’esprit de la constitution, sans toucher à sa lettre.

Pour aller plus loin, voir la « Dissertation sur le cosmopolitisme » en annexe 7.

VI. De l’oligarchie

1. Nous ne sommes plus en démocratie.

Dans une démocratie authentique, le peuple est souverain. Le gouvernement ne peut mener des politiques contraires à la volonté des citoyens. C’est pourtant ce qui se produit aujourd’hui en France, notamment en matière d’immigration. Le peuple ayant été domestiqué et réduit à l’état de foule par la peur de la catastrophe, climatique ou sanitaire, l’État français n’a plus que les apparences formelles de la démocratie. C’est aujourd’hui en réalité un régime oligarchique. Dans cette pseudo-démocratie, l’oligarchie invoque l’autorité fallacieuse des techniciens et des experts de tous ordres qui sont à son service pour assujettir le peuple en étouffant le débat politique.

2. La superclasse mondiale qui s’est formée à la fin du XXe siècle et l’oligarchie cosmopolite qui la représente dans chaque pays ne sont pas pour nous des adversaires, mais des ennemies.

Elles veulent détruire la nation et la civilisation. Aucun compromis n’est possible avec elles.

3. Définition : nous appelons superstructure mondiale le système de pouvoir formé depuis 1945 par les prétendues « organisations internationales », qui sont en réalité supranationales, et par les milliers d’ONG, « organisations non gouvernementales », qui gravitent autour de celles-ci.

On citera, d’une part, pour les « organisations internationales », l’ONU et ses satellites, l’OMS, le GIEC, l’UNESCO, l’OIT, le HCR, l’UNICEF, le FMI, la Banque mondiale, ainsi que l’OCDE, l’Union européenne, le Conseil de l’Europe, la Cour européenne des droits de l’homme, la Cour internationale de justice, la Cour pénale internationale ; d’autre part, pour les ONG, Greenpeace, Amnesty International, Médecins sans frontières ou Reporters sans frontières, parmi tant d’autres. Celles-ci étaient largement financées avant 2025 et le second mandat de Donald Trump, président des États-Unis, par une agence américaine, l’USAID (agence des États-Unis pour le développent international), pour déstabiliser des États souverains sous couvert d’aide humanitaire.

La superstructure mondiale est le principal instrument de la superclasse mondiale pour assurer son hégémonie et imposer l’idéologie cosmopolitique.

4. Définition : les candaules, désignés ainsi par antonomase du nom du roi Candaule et pour traduire l’anglais cuck, sont les hommes classés à droite, mais soumis au cosmopolitiquement correct imposé par l’oligarchie.

5. L’oligarchie cosmopolite propage les âneries calamiteuses produites par le lyssenkisme et la pseudo-science dans tous les domaines : histoire, archéologie, sociologie, ethnologie, économie, droit, psychologie, pédagogie, biologie, écologie, climatologie, épidémiologie…

Trophime Denissovitch Lyssenko, agronome ukrainien, fut le biologiste favori de Staline, puis de Khrouchtchev. Il dénonçait la génétique comme une science bourgeoise et même « nazie » parce qu’elle était contraire au marxisme et à sa prétention de créer un « homme nouveau ». Les lyssenkistes prolifèrent aujourd’hui dans bien des domaines de la science ou de l’histoire, à la faveur de la baisse du niveau de la communauté scientifique et du manque de rigueur de nombreux chercheurs. Comme Lyssenko, ses lointains disciples font de la désinformation scientifique pour des raisons idéologiques.

Une pseudo-science est une discipline entière qui a les apparences de la science, mais qui est en réalité dépourvue de toute valeur scientifique. Sont notamment des pseudo-sciences le « matérialisme historique » de Karl Marx, la « psychanalyse » de Sigmund Freud, le pédagogisme de Philippe Meirieu, la « théorie pure du droit » de Hans Kelsen et la modélisation mathématique des phénomènes complexes, qu’il s’agisse de l’économie, du climat, des épidémies ou de l’évolution biologique.

6. Le prétendu « État de droit » est un État contre la loi qui met les juges au dessus du peuple en leur donnant le pouvoir de lui imposer l’idéologie cosmopolite de l’oligarchie.

Il va de pair avec la judiciarisation des rapports sociaux qui résulte notamment de la création incessante de délits tels que la discrimination ou le harcèlement et qui accroît l’emprise de l’État sur les individus en sorte de les soumettre au cosmopolitiquement correct.

Il est aggravé par la multiplication des « autorités administratives ou publiques indépendantes », qui sont des démembrements de l’État et exercent un pouvoir arbitraire dépourvu de légitimité démocratique.

Le prétendu « État de droit » s’oppose à l’État légal qui était en vigueur avant 1971 et la décision du conseil constitutionnel sur le contrat d’association (dans laquelle celui-ci invoquait des « principes généraux du droit » pour censurer la loi). Dans celui-ci, les magistrats ne peuvent pas juger contra legem, contre la loi, ni s’arroger le pouvoir exécutif en prescrivant des actes au gouvernement, sans se rendre coupables du crime de forfaiture. L’indépendance de la justice ne signifie pas que les juges puissent, au nom d’un prétendu « droit » qu’ils constitueraient de leur propre chef en inventant des normes, s’affranchir de la loi, c’est-à-dire des textes adoptés par le parlement ou directement par le peuple dans un référendum, ni que la jurisprudence puisse être autre chose qu’un complément de la loi. En principe, comme a dit Adrien Duport, « le jugement est la conclusion d’un syllogisme dont la mineure est le fait et la majeure est la loi ».

7. Le relativisme est une concession fatale à l’idéologie cosmopolite de l’oligarchie.

Nous, nationaux-libéraux, nous osons affirmer la vérité en reconnaissant les inégalités et les hiérarchies qui sont de fait, que cela plaise ou non – étant observé que ces jugements de connaissance n’impliquent ni mépris ni hostilité et ne sauraient contredire le principe d’égalité entre les citoyens ni justifier des discriminations illégitimes – : le christianisme est supérieur aux autres religions ; la civilisation occidentale est supérieure aux autres civilisations ; les arts des grandes civilisations sont supérieurs aux arts primitifs ; l’art classique est supérieur à l’art ou au non-art dégénéré ; la grande musique est supérieure à la musique populaire ; la musique occidentale est supérieure à la musique nègre ; les peuples indo-européens sont supérieurs aux peuples chamito-sémitiques ; la race caucasoïde est supérieure aux autres races ; le sexe fort est supérieur au sexe faible ; la France éternelle est supérieure aux autres nations ; le français est la plus belle des langues vivantes…

VII. De l’honneur et des principes

1. Sachant que le premier acte de la raison est la distinction entre le jugement de valeur et le jugement de connaissance, nous avons la religion de la vérité, au rebours des hommes de gauche, qui s’abîment dans les impostures de la pseudo-science et les délires de l’utopie.

L’envie et le mensonge sont les deux mamelles dont la gauche est alimentée. Nous, au contraire, nous acceptons la vérité même quand elle est déplaisante et nous rejetons l’erreur même quand elle est séduisante. Voilà pourquoi nous sommes affranchis du cosmopolitiquement correct.

2. Démocrates et républicains, attachés à la liberté individuelle, les nationaux-libéraux sont de droite modérée, et non d’extrême droite, tout en proclamant : « Pas d’ennemi à droite ! »

La formule « Pas d’ennemi à droite ! » ne doit pas être prise à la lettre, car les candaules qui nous attaquent deviennent par là-même nos ennemis. Elle signifie en réalité que nul ne devient notre ennemi simplement parce qu’il serait trop à droite.

3. Nation et liberté sont inséparables.

Un bon nationaliste est forcément libéral ; pour lui, l’État n’est pas la nation, ce n’est qu’un instrument au service de la nation, et il tient que le peuple ne peut être souverain que si les individus qui le composent sont libres. Un bon libéral est forcément nationaliste, car la personnalité, qui est à la racine de la liberté, ne peut s’épanouir qu’au sein de la communauté nationale. Ils sont nationaux-libéraux.

4. Le national-libéralisme est fondé sur l’universalisme de l’Incarnation proclamé par le christianisme occidental et philosophiquement incontestable.

Toutes les valeurs authentiques, bien qu’issues de traditions diverses, sont universelles à un certain degré d’abstraction et c’est la hiérarchie des valeurs, c’est-à-dire la manière dont sont résolus les conflits de valeurs, qui définit l’identité culturelle des peuples et des civilisations.

L’universalisme de l’Incarnation s’oppose radicalement au cosmopolitisme, qui est un faux universalisme, puisque les prétendues valeurs qu’il entend défendre sont en réalité des anti-valeurs destructrices de l’ordre social et de la civilisation.

5. Le national-libéralisme est l’expression doctrinale du populisme, réaction des peuples contre les oligarchies cosmopolites.

C’est la vraie réponse au cosmopolitisme, comme au collectivisme.

Les principaux maîtres à penser des nationaux-libéraux sont Edmund Burke, Gustave Le Bon, Vilfredo Pareto, Carl Schmitt, Konrad Lorenz, Friedrich August von Hayek et Julien Freund.

6. « Liberté individuelle, égalité civique, fraternité raciale », telle est la devise des nationaux-libéraux.

La devise officielle de la France, « liberté, égalité, fraternité », qui fut d’abord celle de la principale obédience maçonnique, le Grand Orient de France, doit être précisée pour exprimer vraiment l’idéal de la république.

La liberté collective, si elle n’est pas synonyme de souveraineté nationale, est un leurre qui légitime la tyrannie. La liberté authentique s’applique à l’individu et à lui seul.

L’égalité au sein de la nation ne concerne que les citoyens ou nationaux, les deux termes étant strictement équivalents dans la république, et elle implique l’inégalité entre les citoyens et les étrangers.

La sociobiologie nous enseigne que la fraternité est nécessairement fondée, comme son nom le rappelle, sur la communauté de sang entre des individus apparentés, tenus au sens large pour des « frères ». Une certaine fraternité raciale peut sans doute exister entre tous les membres de la race caucasoïde, indépendamment de leur nation ou de leur civilisation, et s’exercer à l’égard des autres races ; cependant, la fraternité raciale à laquelle nous invite la devise républicaine bien comprise s’entend pour les membres d’une même nation, qui ont les mêmes ancêtres, étant précisé qu’ici l’adjectif « racial » et le nom « race » dont il dérive désignent le fonds génétique que ceux-ci partagent, et non la division de l’espèce dans la taxinomie linnéenne.

7. Notre honneur tient dans la fidélité à nos principes.

C’est pourquoi nous nous engageons sans réserve pour la cause sacrée du salut de la patrie et de la civilisation.

 

Annexes

Chacune des sept annexes complète le commentaire d’un apophtegme.

Annexe 1 (II 3) : « Vade-mecum sur les Indo-Européens, autrement dit les Aryas »,

Annexe 2 (II 5) : « Les bienfaits de la colonisation française »,

Annexe 3 (II 7) : « Les dix raisons du mythe européen »,

Annexe 4 (III 1) : « Dissertation sur la race »,

Annexe 5 (IV 6) : « Le mythe du judéo-christianisme »,

Annexe 6 (V 5) : « Chronique de la révolution cosmopolite »,

Annexe 7 (V 7) : « Dissertation sur le cosmopolitisme ».

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